1. Le volcan sous la neige


    Datte: 02/03/2019, Catégories: Collègues / Travail hotel, amour, miroir, pénétratio, fdanus, fsodo,

    ... d’amants. J’aurais aimé aussi la voir chez moi regarder mes bouquins, écouter ma musique, la voir nue dans ma salle de bain. Cette seule pensée provoque une érection immédiate. J’essaie pour faire diversion d’imaginer comment elle va être vêtue, mais rien à faire, la vision de sa nudité s’impose. Je suis pour ma part habillé comme un samedi : jeans, polo, pieds nus dans des mocassins de bateau. Un léger toc sur la porte, à peine audible mais je suis aux aguets : j’ouvre à ma belle Caroline, elle est en jupe légère, petit haut blanc qui moule ses seins, ballerines à talons plats. Elle effleure ma bouche de ses lèvres pleines et brillantes, elles ont un goût sucré, elle les a enduites d’un truc brillant, du gloss si ma mémoire est bonne. J’avais peur qu’on ne soit mal à l’aise, elle est décontractée, jette son sac sur un fauteuil, s’extasie de la taille de la chambre, de celle du lit, s’approche de la fenêtre que j’ai laissée ouverte, se penche, elle trouve la vue sublime, je dis que moi aussi j’ai une vue sublime. Elle réalise que je fixe sa chute de reins et se marre. J’ai juste le temps de fermer la fenêtre, elle est contre moi, les bras noués autour de mon cou. Elle enfouit son visage dans le creux de mon cou, on se respire l’un l’autre, comme avides de retrouver l’odeur de l’autre, puis elle me regarde, cette fois-ci aucun tissu ne lui bande les yeux dans lesquels je plonge : deux lacs de montagne pour la couleur, mais pas glaciaires, oh non ! Elle me tend ses lèvres, je ...
    ... les prends, à nouveau nos langues se cherchent, se trouvent, mes mains parcourent son corps, se glissent sous sa jupe, je les pose sur ses adorables fesses à travers le tissu de sa culotte, je la plaque contre mon ventre, elle sent la tension dure de mon désir, mais loin de se dérober se colle encore plus, se frotte, ondule puis elle décolle sa bouche de la mienne. — J’avais envie de ça, d’être dans tes bras. J’évite de répondre quelque chose de trop tendrement amoureux comme j’en ai envie, je continue de pétrir son postérieur. — Tu n’as quand même pas oublié que tu dois recevoir une punition ? Elle secoue doucement la tête de droite à gauche. Ses yeux me scrutent, elle se demande comment je vais m’y prendre. Je la libère pour la prendre par la main, je trouve ça émouvant, sa main dans la mienne, je m’en veux d’être ému. Je la guide vers les grands placards dont les portes coulissantes font miroir, je lui explique que vais la déshabiller devant ce miroir, qu’elle va garder les yeux ouverts, me regarder faire, que ce n’est que quand elle sera toute nue qu’elle recevra sa fessée, parce que c’est déculottée la fessée. J’arrache littéralement mon polo que je balance sur un fauteuil. Je lui ôte son haut plus délicatement, je retire mes chaussures, les siennes ensuite, je contemple la rotondité de ses seins qui semblent vouloir déborder de son soutif pourtant très sage, blanc avec des petites dentelles. Une fois n’est pas coutume je trouve du premier coup le système d’agrafage, ses ...
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