1. Le volcan sous la neige


    Datte: 02/03/2019, Catégories: Collègues / Travail hotel, amour, miroir, pénétratio, fdanus, fsodo,

    ... surveillant qu’elle a enfoncé ses doigts dans ses conduits auditifs. — Je pense que je t’aime. Elle ôte ses doigts de ses oreilles, fait mine de me repousser, me tambourine la poitrine de ses poings, mais ses yeux qui rient démentent sa colère. — J’ai parfaitement entendu, tu es un menteur, je suis sûre que tu as dit ça à des dizaines, des centaines de nanas, oh non ! La dernière exclamation vient ponctuer une vague de plaisir provoquée par mes coups de reins, je la baise, elle aime ça, noue ses jambes autour de mes reins, m’embrasse encore, gémit, alterne les oui et les non. Je la retourne, la fais s’appuyer sur les coudes, je la prends ainsi, après quelques allers et venues je la tire vers le bord du lit, je me place debout derrière elle, elle me supplie de venir, je la baise avec force en levrette en claquant mon ventre contre ses fesses. Je vois le petit trou entre ses fesses qui s’entrouvre, je mouille un doigt, je l’introduis, le fais aller et venir, Caroline me dit que je vais la faire mourir, elle tremble, mon pouce remplace mon doigt, je le sens à travers l’étroite paroi à chaque va-et-vient de mon sexe, elle gémit plus fort et jouit avec un cri que je reconnais avec bonheur. Je me retire, j’ôte mon pouce, je me penche pour humidifier son petit trou, je le lèche et la façon dont elle se trémousse me laisse penser que c’est loin d’être désagréable. Je remonte, elle reste dans la même position, mon sexe palpitant entre ses fesses. Elle sait ce que je vais lui faire, ...
    ... elle s’y abandonne. Bien enduit de salive le gland appuie, force un peu l’étroit passage, le dilate et pénètre. Elle pousse un cri de surprise, un peu de douleur, je lui propose d’arrêter, elle me répond non, de juste faire doucement. J’écarte ses fesses et je laisse couler un filet de salive pile entre les deux. Il s’écoule vers le pieu qui l’empale, je m’introduis davantage, presque un millimètre après l’autre, elle pousse une espèce de feulement rauque qui stoppe quand je suis fiché en elle de toute ma longueur, reprend quand je ressors presque entièrement pour mieux me replanter, et ainsi de suite jusqu’à ce que je jouisse avec des gémissements qui couvrent les siens. Quand je sors définitivement, je regarde son adorable petit trou se refermer, comme pour garder mon sperme. Elle me repousse et se lève pour aller aux toilettes, j’en profite pour aller me rincer dans la salle de bains. Elle m’y rejoint et me vire gentiment, je retourne m’allonger pour l’attendre. Elle vient se blottir dans mes bras. — Eh bien, pour un iceberg, tu es bien volcanique ! Elle est surprise, me demande ce que je veux dire, je lui explique : Patrice, ses suppositions à notre égard, le surnom qu’il lui donne, l’histoire des engelures qui m’a fait penser au volcan sous la neige. Elle me gratifie d’un bisou pour ça et fulmine : — Quel con ce mec, quel macho ! Tu sais ce qu’il mérite ce blaireau ? Que je rentre dans un bureau où vous êtes tous les deux, que je vienne m’asseoir sur tes genoux et que je ...
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