1. Le Boss - Chapitre 3


    Datte: 02/03/2019, Catégories: ffh, hplusag, frousses, inconnu, Collègues / Travail train, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, ffontaine, Oral fdanus, fsodo, jouet, sm, confession,

    Résumé des épisodes précédents :Je travaille dans la haute finance pour un patron brillant et fascinant qui a pour habitude de soumettre ses employées à ses jeux les plus crus. La règle est claire dès l’embauche, et le salaire accordé est tout simplement hallucinant. Celles qui l’acceptent le font, croyais-je alors, pour l’argent. Moi, je me soumets car je veux parvenir à le dominer. Paradoxal ? Pas dans ma logique. Un dimanche entièrement libre, sans dossier à boucler, sans visite familiale, sans enculade patronale, sans obligation d’aucune sorte. Je savoure ceno man’s land de mon emploi du temps en m’offrant le plus luxueux des plaisirs : je me prépare un bain. Un moment voluptueux. Je déploie une nappe sonore, un opéra de Purcell, je me sers un joli verre de porto vintageDows 1987, je baisse la lumière au variateur de la salle de bains, et surtout, surtout, je fais couler l’eau sur un liquide ambré aux fragrances de cannelle qui fait une mousse d’enfer. Je laisse tomber le long tee-shirt dans lequel je viens de passer la nuit et je me contemple dans les glaces qui couvrent toute la surface des murs de ma salle de bains. J’en fais des tonnes, comme si une caméra me filmait. Je suis une star, inaccessible et lointaine, montant les marches du palais des festivals à Cannes. Léa Lomont sous les salves crépitantes despaparazzi. J’aime me voir sous tous les angles. Mes pieds sont bien cambrés, mes mollets impeccablement dessinés. Mon regard remonte vers mes cuisses, longues ...
    ... et fermes. Impeccable. Mon sexe bombé se découpe comme un abricot lisse et fendu, tout juste surmonté d’un symbolique ticket de métro noir, un centimètre de large sur trois de hauteur. Mon esthéticienne veille chaque semaine à son immuable régularité, tout comme elle me débarrasse du reste de ma pilosité. J’ai toujours été maniaque sur ce point, je ne suis à l’aise que parfaitement épilée. Mon contrôle se poursuit. Le ventre est toujours plat. Des abdos très discrets, mais mon heure quotidienne d’exercice leur garantit une excellente réactivité. Mes seins ne sont pas gros, ils sont juste… parfaits. Oui, je manque de modestie. Mais je n’en vois pas l’utilité. La modestie est une mauvaise excuse pour les faibles. Je suis très belle et je m’aime comme ça, il serait ridicule de ma part de prétendre le contraire. Une longue chevelure noire tombe presque jusqu’à mes reins : des années d’attention qui ont épuisé coiffeuses et carte bleue. Je cultive sur mon visage un faux air eurasien énigmatique. Même si certains pourraient être rebutés par sa froideur, je sais l’effacer d’un beau sourire lorsque c’est nécessaire. En tordant un peu le cou, je peux voir mes fesses, deux petites pommes rondes, mises en valeur par une belle cambrure. Je suis impitoyable avec moi-même, je ne m’accorde aucun défaut. Et lorsque j’en trouve un, je mets tout en œuvre pour le corriger, à grand renfort d’heures en salle de gym. Je m’y inflige de pénibles tortures sur des appareils abscons, jusqu’à totale ...
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