1. Le Boss - Chapitre 3


    Datte: 02/03/2019, Catégories: ffh, hplusag, frousses, inconnu, Collègues / Travail train, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, ffontaine, Oral fdanus, fsodo, jouet, sm, confession,

    ... disparition du moindre bourrelet. Aujourd’hui mon inspection me satisfait pleinement. Je me laisse glisser dans la mousse avec indolence. Je ferme les yeux et repense à la semaine qui vient de s’écouler. Les surprises avaient commencé dès lundi matin. Quand je suis entrée dans le bureau de Jean-Yves Varmois, mon boss, j’eus la surprise de constater qu’il n’était pas seul. À quatre pattes sur la table basse était exposée Emma Verdini, notre rousse et pulpeuse directrice de la communication. Sans aller jusqu’à dire que c’était déjà une copine, nous avions sympathisé et depuis ma récente arrivée dans la boîte je m’entendais bien avec elle. Drôle et vive, toujours enjouée, elle a la pêche du matin au soir, une qualité précieuse. Nous n’avions jamais évoqué ensemble les petites manies de notre patron, mais je me doutais qu’elle était inévitablement partie prenante de ses jeux. De toute façon, Varmois n’avait recruté que des filles, toutes jolies, et j’étais bien placée pour connaître son dernier critère de sélection. Je dis bien son dernier critère car il était évident qu’aucune de ses collaboratrices n’était là pour de mauvaises raisons : chacune d’entre nous, à son niveau, de la petite secrétaire-comptable à la DRH, possédait avant tout une compétence professionnelle irréprochable. Si Varmois se permettait d’offrir des salaires incroyables, c’est que la boîte gagnait énormément d’argent. Grâce à son génie, bien sûr, mais aussi à l’efficacité de notre boulot. J’avais du mal à ...
    ... détacher mes yeux d’Emma. Cette belle femme ayant largement dépassé la trentaine ne portait qu’une tenue aussi laide que succincte de pute des années 80. Soutien-gorge rouge à balconnets d’où étaient sortis deux gros seins piqués de taches de rousseur, bas blancs et porte-jarretelles rouges, escarpins rouges à talons aiguille, et l’indispensable et gerbeux collier de perles. Des cordelettes passées autour des chevilles et des poignets l’attachaient aux quatre pieds de la table basse. Elle portait un gode-ceinture, mais d’une façon plutôt inhabituelle : le sexe de latex souple, de taille raisonnable, était entièrement enfoncé dans sa bouche et les lanières étaient refermées sur l’arrière de sa tête. Pas très pratique pour respirer, j’imagine. Une petite culotte, rouge bien entendu, était chiffonnée au milieu de son dos cambré. Le reste de ses vêtements, eux d’un goût irréprochable, était soigneusement plié sur le fauteuil destiné aux visiteurs. Ses fesses généreuses étaient tendues vers l’arrière et il en sortait, incongrue, une grosse queue de cheval en fibre synthétique. En réalité l’élément visible d’un plug sans doute énorme puisque sa partie étroite enserrée par le muscle anal distendait déjà Emma de plusieurs centimètres. L’ensemble était ridicule, humiliant et pathétique, et pourtant, les yeux clos, la belle rousse ronronnait comme un petit chat, flottant sur un nuage d’émois. Varmois était assis derrière son bureau et travaillait nonchalamment, portant autant d’attention ...
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