Le Boss - Chapitre 3
Datte: 02/03/2019,
Catégories:
ffh,
hplusag,
frousses,
inconnu,
Collègues / Travail
train,
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Oral
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confession,
... à la directrice de la communication qu’à un pot de fleurs. — Monsieur Varmois, Madame Verdini…— Bonjour Léa. Vous et moi faisons demain un saut à Bruxelles à la convention desbusiness angels. Nous rentrerons dans la soirée. Je dois faire une intervention. Préparez-moi un petit speech de trois pages maximum. Quelque chose de vif et d’enlevé, pas question d’endormir l’auditoire. Il fit glisser sur son bureau un petit dossier que je pris. Je restais fascinée par l’image de l’anus distendu d’Emma Verdini et me dis qu’elle avait dû en sentir passer, des queues, dans ce trou qui n’était plus si petit. — Gare du Nord, demain matin sept heures. Ce sera tout, Mademoiselle Lomont, merci. Il exposait Emma devant moi, me convoquait pour que je le constate, et me renvoyait. Pourtant cette mise en scène m’était destinée, j’en étais convaincue. Qu’avait-il en tête exactement ? Me montrer à quel point ma soumission était encore superficielle ? Trop trivial. Me frustrer ? Trop évident. Comme toujours, Varmois semblait difficile à cerner. Mais moi aussi je pouvais être joueuse. Il m’avait demandé de partir, j’étais tentée de faire l’inverse. À moins que ce fût ce qu’il attendait. Je cédai malgré tout à mon impulsion. — Voyez-vous un inconvénient à ce que je reste un instant, Monsieur ?— Tant que vous ne faites pas trop de bruit. J’ai du travail. Je me suis approchée de la table basse, par derrière. Emma ne pouvait pas me voir, immobilisée comme elle l’était. Elle ronronnait toujours, ...
... manifestement bloquée à un rien de l’orgasme, incapable de pouvoir se satisfaire. Je la contemplai. Une excitation nouvelle montait : j’étais à la fois moi et elle. Je me projetais en femelle écartelée et frustrée, en même temps que je jouissais de l’avoir à ma disposition. Je laissai doucement courir mes mains sur ses somptueuses fesses laiteuses en un frôlement presque imperceptible. Elle tressaillit, se tendant, cherchant un contact plus franc. Écartant un peu la queue de cheval qui sortait de son derrière, je me faufilai entre ses cuisses et attrapai à pleine main sa motte, la comprimant comme je l’aurais fait d’une paire de couilles. Je serrai. Elle exhala un feulement surpris et plusieurs spasmes la secouèrent. Elle jouit violemment, longuement, trempant mes doigts qui ne lâchaient pas prise. Je fus étonnée d’une réaction si rapide et si brutale. C’était troublant, très excitant. Je venais d’amener une femme à l’orgasme. Enfin, je devais tout de même reconnaître que je n’étais responsable que du dernier pas le long d’un chemin tracé par Varmois. Malgré tout, je ressentais une exultation profonde, une satisfaction jusque-là inconnue. Je contemplai ma main trempée. Et je ne sais pas ce qui m’a pris, je me suis dirigée derrière le bureau de mon patron et ai tendu la main détrempée devant les lèvres de l’homme qui m’enculait chaque jour. Sans cesser de taper sur le clavier de son ordi, il a léché chacun de mes doigts. Nos regards ne se sont pas croisés. Je suis sortie du bureau, ...