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Toilettes publiques
Datte: 17/08/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,
Depuis quelques temps, j'ai renoué des relations positives avec mon corps. Je ne le cache plus sous des vêtements sombres et trop larges. Je supporte mieux mon ventre rond de « femme enceinte » (comme l'affirme si bien à la cantonade un mendiant de mes connaissances) surplombé de petits seins aux tétons minuscules et proéminents, mon petit sexe circoncis presque enfantin, mes fesses trop plates, mes jambes bien dessinées mais toujours un peu gonflées d'oedème. Peu à peu, j'ai commencé à le mettre plus en valeur en choisissant des vêtements prés du corps, en limitant l'usage de socquettes puis en en utilisant des très basses, en supprimant les sous-vêtements même en hiver pour me sentir plus exhibé. Par la suite, j'ai décidé de manier rasoir et crème dépilatoire pour rendre plus nets mes aisselles, mon torse puis mon sexe et mon cul. Très vite, j'ai fini par oublier les picotements de repousse et me suis senti encore plus totalement dénudé. J'ai eu plaisir à vivre nu, à m'exposer à la plage naturiste, à hanter les sous bois en tenue d’Adam en espérant y être remarqué par un de ces nombreux dragueurs qui les fréquentent, à me caresser à proximité de femmes délibérément livrées à des inconnus dans des sites de débauche en plein air. J'aime cette sensation de braver l'interdit tout en ne m'exposant jamais vraiment. Une fois, un dragueur nu m'a peloté le sexe, mais je n'ai pas osé le laisser aller plus loin lorsqu'il s'est aventuré entre mes fesses. L'autre jour, pris d'une envie ...
... pressante, je me suis arrêté, sans penser à mal, dans des toilettes publiques connues pour être un lieu de rendez-vous gay. Les urinoirs y sont alignés sans aucun dispositif de séparation pour garantir l'intimité de chacun, ce qui fait le succès de ce site. Il fut une époque ou j'aurais fui ce genre de lieu, mais j'ai maintenant plaisir à imaginer mes voisins contemplant discrètement mon anatomie. Une seule place est disponible au centre des urinoirs et je m'y glisse. Je déboutonne ma ceinture, ouvre largement ma braguette et baisse mon pantalon en limite de raie des fesses pour être à l'aise. Je sens soudain une attention de mes deux voisins. L'un m'interpelle : « Superbe l'idée de ne rien cacher de ton sexe épilé ! On peut voir le reste ? » Je suis à la fois estomaqué et flatté de la remarque. Mon cœur s’accélère et ma respiration devient plus haletante. Alors que je finis ma miction, je sens une main se poser sur mon bas ventre, à la limite supérieure de mon sexe. Une autre se glisse dans mon dos sous ma vêture et, en une caresse, soulève ma chemise. Par réflexe, je lâche mon pantalon qui s'effondre au sol alors que ma tunique me passe par dessus la tête sans que je n'aie pu rien faire. Me voici nu comme un vers, exhibé en public. Mon rasage intégral me vaut des quolibets et des sifflets approbateurs Une dizaine de mains me pelotent maintenant le sexe, les fesses, les seins. Mon phallus et mes tétines commencent à durcir, ce qui ravit mes compagnons. Je suis soulevé ; on ...