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Toilettes publiques
Datte: 17/08/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,
... m'ôte mes tennis que l'on emporte avec ma liquette et mon jean ; on me pose dans les WC handicapés dont la porte se referme. Je reste là debout, palpé, massé, notamment aux endroits les plus sensibles, par cette foule excitée et pour le moment étonnamment silencieuse. Je n'ai plus aucune dignité et me tortille sous les caresses. On m'oblige à me pencher un peu vers l'avant. Deux doigts humides envahissent mon fondement, le dilatent, s'agitent, tapotent doucement ma prostate, tournent et virevoltent... Je m'incline encore et écarte mes jambes pour rendre le geste plus facile et ma perception plus agréable. Tout mon corps bouge en rythme puis s'interrompt pour quelque spasme obscène qui déchaîne une gestuelle plus ferme encore des doigts inquisiteurs. Une main caresse mes bourses, une autre branle doucement mon sexe et j'accompagne le mouvement de coups de reins équivoques. Mes seins et mes cuisses sont malaxés et je m’écartèle toujours plus. Une fessée m'est sèchement administrée et mon corps se tord en esquive. Deux doigts visitent ma bouche trempée de salive et je les suce jusqu'à l'obscène. Au bout de quelques instants je me retrouve plié en deux, les mains posées sur la lunette des toilettes. Un sexe envahit ma bouche et ma gorge, tandis qu'un autre s'engage fermement dans mon cul. Ils bougent en cadence. Les autres protagonistes occupent mon dos, mes seins et continuent à martyriser mon sexe et mes bourses. Ils sont terriblement excités et ne cessent maintenant de ...
... proférer des insanités. Pourtant je ressens tous ces mots blessants comme autant de compliments. Je suis presque heureux d'être « une fieffée salope, une vieille pute, une grosse lopette, une gourmande du cul... ». Mes bourreaux, sans doute coutumiers du fait, ne se soulagent pas en moi mais se succèdent dans mes orifices jusqu'à ce qu'ils n'aient d'autre choix que de ressortir pour maculer ma peau de leur foutre. Ma gorge est endolorie à force d'être heurtée par leurs glands durcis et je bave abondamment. Certains sexes, plus longs que d'autres, s'enfoncent en mon cul jusqu'à ce qui me semble être un deuxième sphincter, qui s'ouvre avec difficulté. D'abord douloureuse, cette expérience éveille une jouissance que je ne connaissais pas. Curieusement, je ressens de nombreux petits orgasmes qui me voient cracher au sol des quantités limitées de foutre. Au moment ou je sens qu'ils vont enfin se désintéresser de moi, un nouveau protagoniste entre dans la pièce et commence à me sodomiser violemment en me traitant de « femelle lubrique ». Ses mains me maintiennent en position en pétrissant délicieusement mes hanches. L'une d'entre elles remonte parfois vers un sein et le pelote. Je suis interminablement ramoné au point que la fatigue me gagne et que mes jambes flageolent. Soudain, il explose ; je sens son vit qui tressaute dans mes tripes et répand sa liqueur. Je pousse un cri de joie comme pour saluer ma performance, ma compétence à le faire jouir. Épuisé, je m'effondre sur le sol rendu, ...