Un inconnue découvre un paria dans sa famille (8)
Datte: 03/03/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
…d’une sorte de paralysie faciale. Quelque chose d’énorme venait de me traverser l’esprit, une idée complètement conne, à l’envers du bon sens, à contre-courant de ma vie actuel. Je voulais vivre heureux avec pour compagne mes trois soumises, en faire mes épouses légitimes. Pour ça, il n’y avait qu’au moyen orient que je pouvais le faire et encore, en nous convertissant à cette religion, la leur. Mais si c’était officiel, par exemple, nous pouvions revenir après, ici. Putain, c’est quoi cette idée pourrie….en fait, pas si pourrie que ça quand j’y pense. Je reprends mes esprits, mes deux anges me fixent d’un œil inquiet. Je ne me retire pas de ma belle black, au contraire, je la défonce, me défonce en elle. Je la déchire, lui élargis son vagin à grand coup de rein. Quand elle décolle, mon idée à la manque revient, s’impose dans ma tête comme l’idée du siècle. Je n’arrive plus à me concentrer sur mes douces. Je roule sur le côté, fixe le plafond sans comprendre comment j’ai eu cette foutue idée. Sidonie et Yvana sont inquiètes, elles se pressent près de moi. Je m’assois, les regarde un moment. « Désolé les filles. Mais j’ai eu une sorte de vision, je me voyais marié à vous trois avec Gisèle. Ne riez pas, c’est était si clair dans ma tête. On était allé dans un émirat, nous avions tous adopté leur religion, je vous avais épousé l’une après l’autre et nous étions parti je ne sais plus où, si, oui, ici. C’est complètement con ! » « Pas tant que ça, Monsieur mon oncle. L’idée est ...
... bonne, c’est la religion que me fait peur. » « Ah, ça, la connerie humaine n’est pas prête à s’en débarrasser. Mais cela étant, partout où nous irions, on ne pourrait rien nous reprocher, ben oui, vu que ce serait officiel. Seulement, la religion, ok, mais prendre la nationalité, en plus. Là, ça coince. Hum, pas marrant tous les jours d’avoir des idées à la con ! » Je me levais pour me doucher, une douche bien fraiche pour me remettre les idées en place. De moins en moins étonnée par notre mode de vie, Yvana s’oublie dans les bras de ma Sidonie, je peux les voir de la douche. Je m’émerveille devant cette grâce toute féminine. C’est à chaque fois un régal pour mes yeux. Et puis Gisèle arrive, pose le déjeuner, se joint lentement à ce couple entièrement féminin. Je me sèche, enfile mon short et sors en silence. Dans la cuisine, seul, je me sers un double que je vide d’un trait avec cette idée farfelue dans ma tête. L’idée de les épouser toutes les trois me plait, me ravit même. Mais c’est la manière dont ma tête voudrait que je m’y prenne qui m’agace et je n’arrive pas à la chasser de ma cervelle. En haut, les clameurs de plaisirs mérités me parviennent, je souris autant que je bande. Je me garde bien de les rejoindre même si l’envie est forte. Je me rends dans ma bâtisse. J’y fais un peu de rangement et m’assois en regardant un mur, la tête enfin vide. Les clameurs continuent, Yvana me plait autant que les deux autres, je ne peux pas le nier. J’appelle le journal, annule la ...