Un inconnue découvre un paria dans sa famille (8)
Datte: 03/03/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... un petit voyage de noce, on passe visiter Isabelle et sa petite famille, Martine et son époux toutou et on rentre après un mois. En chemin, nous faisons une courte escale de trois jours sur l’ile de Porto-Rico. Là, moyennant quelques milliers de dollars, mes deux petites donzelles, nos témoins deviennent officiellement mes épouses. Facile quand on à l’aide d’une personne haut placée avec beaucoup de relation. Trois nuits de noce plus tard, nous voilà de retour sur le sol de la Martinique et officiellement marié à mes trois femmes. Comme nous nous attendions, notre drôle de couple est soumis à une inspection et une enquête en règle de la part des officiels. Nous on s’en moque, on veut juste jouir de nos corps comme bon nous semble. Vous allez rire, chassez le naturel, il revient au galop, pire qu’un boomerang. Mes trois épouses, sans me consulter, redeviennent mes soumises et se comportent comme telles. Tenue légère, collier en cuir avec courte laisse, menotte de cuir au poignet et cheville. C’est ainsi qu’elles me font nos courses. Ce qui nous surprend la plus, après que l’enquête de police soit classée sans suite, c’est le nombre d’invitation adressée à monsieur et mesdames. Pour la moindre occasion, on est de la fête et on en profite. Sidonie, de sa belle plume nous pond un livre sur nos dernières années de vie commune, nos rencontres, nos amours, tout quoi. Et puis, il y a la fête, celle du nouvel an 1999-2000. On est très officiellement invité par le député de l’ile. Une ...
... grande soirée festive avec tout le toutim avec tout le gratin de l’ile. Une occasion en or pour parler de notre vie à part et, peut-être y faire des adeptes. Notre arrivée fait sensation, mes trois épouses sont en laisse avec des robes plus déshabillées qu’habillées. Ouverte de partout sauf là où on le voudrait, plus provoquantes que ça, tu meurs. Les robes de mes douces créent l’événement. Faut dire que Gisèle n’a pas chômé pour les dessiner avec Yvana, les couper et les coudre. Et puis, il y a les colliers avec leur laisse. Là encore, on ne passe pas loin du scandale. Mes femmes sont très courtisées, surtout qu’elles ont ordres de prendre du plaisir comme elles le désirent. Moi, je suis en chasse de l’âme solitaire, féminine si possible. Je trouve, je trouve cette femme qui semble royalement se faire chi….biiiip. Je récupère une coupe, viens m’assoir près d’elle, lui offre la seconde coupe. « Alors, on s’ennuie ? » « J’étais bien toute seule, je pouvais regarder ce ciel magnifique. » Aie, le râteau que je ne me prends d’entrée de jeu « Effectivement, on est bien seul pour le dévorer de nos yeux. » J’allais me lever quand sa main prend la mienne et la serre fortement. « Ne partez pas Monsieur le curé. Oui, c’est moi, ça te la coupe, non ? Je ne suis là que par le fruit du hasard. Personne ne sait qui je suis. T’inquiète, à minuit, je serais partie. » « Non, surtout pas. On a une maison, tu peux venir ma sale gamine. » « Je ne peux pas rester, j’ai déjà une autre mission. Je ...