1. Un inconnue découvre un paria dans sa famille (8)


    Datte: 03/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... t’abandonne ce corps, il est bien seul, son compagnon est là, au fond de cette eau, disparu à jamais. Elle se prénomme Alaine, c’est une irlandaise. Rousse comme tu le vois, une vraie rousse, tiens, regarde sa chatte, n’est-elle pas mignonne. Elle se cherche. Si tu ne fais rien, elle va aller rejoindre son petit ami au fond de l’océan. Oh, il va être leur. Je ne lui laisse aucun souvenir de moi, seulement que tu lui plais, qu’elle désire te suivre dans tes vices. Mais, mets y les formes sinon elle coule. Adieu mon père, à un de ces jours. Je veille sur toi désormais ! » Et voilà, elle m’échappe encore ma sale gamine. « Bonsoir, je suis Alaine et vous ? » « Hein, moi, personne, je passais par là et je vous trouvais bien trop seule pour une si belle femme. » « Oh, mais je vous reconnais, vous êtes l’homme qui a trois épouses, trois sublimes épouses. On dit d’elles que ce sont vos esclaves, c’est vrai ? » « Ça l’est, effectivement. Là-bas, c’est Sidonie, ma nièce, ici, cette beauté black, c’est Yvana et elle, ma douce Gisèle. Et oui, je vous le confirme, ce sont mes soumises. Je n’aime pas le mot esclave, c’est si méchant. » « Si je comprends bien, vous les punissez alors ! » « Seulement quand il la faut ou, mais n’en dites rien à personne, pour les faire jouir. C’est si beau une femme qui jouit. Si vous pouviez vous voir jouir, c’est juste sublime. Mais une femme horriblement moche devient sublime dans l’orgasme. » « Mais c’est douloureux d’être fessée ou fouettée, ...
    ... personnellement, je ne voudrais pas. » « Vous ne savez pas ce que vous perdez alors. Demain, quand nous serons réveillés, je les fesserais toutes les trois pour avoir folâtré avec ces hommes et ces femmes. Je vous promets qu’elles vont jouir. Oh, il va être minuit, je vous invite à me suivre sur ce petit promontoire là-bas, on y sera mieux. » Elle me suivit. Nous étions sur un gros rocher bien lisse et plat. Ce fut un spectacle magnifique, un feu d’artifice comme on aimerait en voir et en entendre plus souvent. Alaine jouit comme toutes les femmes, merveilleusement, mieux que ce minable feu d’artifice tiré en toute hâte. Non, je parlais des orgasmes d’Alaine, de rien d’autre. C’est quand elle a insisté pour gouter à ma fessée maison que je n’ai pas résisté. Heureusement, j’ai toujours ma pommade avec moi, parce que je ne l’ai pas loupée. Si elle a eu des larmes, pour sûr que oui, mais au moment suprême, seules mes trois épouses la dépassent, mais ça ne serait tarder. De toute le reste de la nuit, elle me suit, docile, restant toujours en arrière, son épaule contre la mienne. Mes donzelles ne sont pas en reste, y a qu’à les voir suer en sortant de pièces normalement interdites aux visiteurs, les cheveux en pétard et ajustant leur robe. À l’aube, après avoir fait l’amour une dernière fois avec Alaine, je la quitte en lui laissant un mot, celui qui lui dit d’être à quinze heures précise derrière notre maison, côté océan. Je sais qu’elle l’a lu, je l’ai vue ouvrir ses yeux quand je le posais ...
«1...345...»