1. Un inconnue découvre un paria dans sa famille (8)


    Datte: 03/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... plus fort que moi. Soudain deux yeux bleus me fixent, une bouche superbe s’ouvre, ça va décoiffer. Un long râle animal sort de cette bouche, je suis sur le cul. Je crois même voir ses yeux sortirent de leurs orbites. C’est impressionnant à la voir jouir. Oui, comme si elle jouissait pour la première fois. Derrière mes épouses continuent à entretenir cet orgasme que dévaste Alaine. Je délivre ses mains, elles prennent mon visage et… « Faites-moi mourir comme ça, je bénirais votre nom en tout temps, tout lieu. Jamais, tu entends, jamais vécu une chose aussi démoniaque, jamais. » Et sa tête s’affaisse, on la délivre très vite, on la couche sur l’herbe. Elle nous regarde, hagarde cherchant à comprendre qui nous sommes, comment elle a pu jouir aussi fortement. Elle veut nous l’expliquer, ses mots ne parviennent pas à sortir de sa gorge. On l’emporte à l’intérieur, on lui donne de quoi se remettre sur pied. Ses yeux brillent plus que toutes les lumières d’une mégalopole. Elle secoue sa tête, ses mains gesticules, elle cherche ses mots, déçue, elle s’incline. Yvana et Sidonie l’entourent, lui parlent, lui explique qui je suis, comment je fais reste un secret. De toute manière, je n’ai aucune explication qui tienne la route. Après un copieux repas, elle retrouve l’usage des mots. Sa voix est si douce quand elle tente de décrire cet orgasme. À la croire, ce fut comme si une lumière l’éblouissait, pire que le soleil. C’est tout ce qu’elle peut en dire, pour le moment. ihnikkps Bien ...
    ... plus tard, dans la nuit, elle se réveille en sursaut, criant un prénom masculin. Je comprends vite qu’elle est en plein cauchemar. Je l’attire contre moi, Sidonie et moi la couchons entre nous. Elle s’endors contre ma Sidonie, toute blottie, telle une enfant. Ma sale gamine, que m’as-tu fait comme présent. Mais ne t’inquiète pas, on va lui donner ce qu’on a de mieux, notre amour. Dans ma tête, une voix se fait entendre un bref instant et ça me dit : « Je sais ! » Je crois rêver, je me serre tout contre Alaine et Sidonie quand la voix me dit que je ne rêve pas. Je sens comme une caresse sur mes fesses, une caresse presque glaciale. Dans ma tête, je demande à ma sale gamine d’aller se réchauffer ses mains en souriant. Pour toute réponse, je m’endors en écoutant le cœur plus calme d’Alaine. Les jours se suivent, notre ménage à quatre n’est que merveilleusement perturbé par les visites d’Alaine. Elle aime venir prendre sa fessée, sentir la cire brulante échaudé son corps. Elle aime venir subir mes épouses en étant écartelée dans notre galetas, entre deux poutres. Si au début, elle ne venait qu’une fois ses fesses décolorées du rouge de la dernière fessée, depuis peu, elle vient de plus en plus souvent et ses amies s’en inquiète. Pourtant, devant elles, elle semble tellement radieuse. Du reste, elle ne fait plus de cauchemar. Ce qui nous amène à ses amies, de jeunes femmes parfois esseulées par leur compagnon. Il en est une qui est venue nous voir pendant que nous dorions nos corps ...
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