1. Holidays


    Datte: 05/03/2019, Catégories: Anal Mature, Première fois

    Nous n'avions pas prévu des températures pareilles. Notre séjour sur la côte tournait certains jours au calvaire. Nous étions trop contents que notre location fut dotée d'une climatisation efficace. Cependant nous tâchions de ne pas en user inconsidérément. Notamment pour la santé des enfants. Ceux-ci squattaient la journée la piscine. Il avait été convenu de faire un tour sur la plage qu'au début du soir. Sieste et ombre étaient de rigueur les après-midi. J'y dévorais des livres tandis que les gamins et leur père s’adonnaient à leurs jeux vidéos. Il y avait recours aussi aux magasins.Moi-même je goûtais ces grands espaces de la galerie marchande tout saturé de frais. Après que nous ayons effectué le principal des achats , loisir était à chacun d’aller écumer ses boutiques préférées. J’abandonnais mes mecs pour me perdre dans l'étage où sévissaient fringues et parfums. J'escomptais aussi croiser des regards d'hommes suscités par ma petite jupe et mon joli bronzage. Mon mari relatif pervers m'avait débauché en ce sens. Déplorant que je ne mette davantage en exergue mon cul et parfaites cuisses, il me convertit ainsi au port de la mini-jupe.Au temps de mon mariage, j'étais relativement coincé. Du moins considérais-je le port de ce vêtement sulfureux que comme l'apanage des garces et des femmes de frêle vertu. Je résistais un temps. Je concédais au début de ne porter cela que dans l'intimité. Cela avait don d'exciter mon mari et de décupler ses forces et ses performances. Puis ...
    ... peu à peu je m'enhardis. Notamment aux vacances d'été et en compagnie de parfaits inconnus, j'arborais enfin et sans pudeur ce vêtement. D'autres gars que mon mari me témoignèrent de l'engouement.Je pris goût et d'exciter et d'allumer autour de moi. Mon mari était friand des anecdotes que je lui rapportais. Il avait une totale confiance en ma fidélité. A cet égard et durant un temps je ne déçus pas sa confiance. Puis les années passèrent. Nous baisions toujours autant mais le couple s'usait. Je sus peu à peu les incartades de mon mari puis moi-même je pris un amant au bureau. Nous convînmes que ces tiers et coups d'un soir étaient nécessaires au ciment de notre couple. Notre calcul à ce jour se révéla juste car nous sommes toujours ensemble.N'empêche j’avais pris l'habitude l'été d'être sautée par d'autres mâles que mon mari. Je les recrutais notamment vers la plage. Il me vint idée de faire de même dans un centre commercial. Somme toute j'y pouvais rencontrer la même qualité de dragueurs. En cet endroit et cette saison les hommes et les femmes se dévisageaient sans vergogne. Tout respirait le désir et la luxure. Je savais que mon bonhomme de son côté ne se privait pas de mater voire de brancher. Durant ces dernières années j’avais arrêté mon goût à l'homme mur et viril plutôt qu'au minet.Je ne regardais pas tant au physique qu'à l'aptitude de me faire jouir et grimper au rideau. Avec l'âge on veut avoir quelque chose dans l'assiette. On est impitoyable au mauvais coup. Chez ...
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