1. Holidays


    Datte: 05/03/2019, Catégories: Anal Mature, Première fois

    ... pipelette. Je n'étais pas mécontente d'avoir fait la pute dans la pénombre. Je savourais encore les coups de boutoir qu'Eric là-bas m'avaient administré. J'étais sûre de le rappeler. En fait il me prévint. Il voulait me présenter à un ami. Là aussi je n'y vis guère à redire.Depuis longtemps mon mec projetait avec les gosses de faire du voilier. Sachant mon mal de mer je convins d'aller faire seule les courses. Il faisait un temps parfait pour folâtrer sur la grande bleue. Ils affectèrent d'être chagrin de me laisser à ma corvée. Ils eurent été bien étonnés que je courus moi-même à un joyeux divertissement. Eric et son ami n'avaient pas moins loué pour moi une chambre d'hôtel. Du moins fut-ce le pote qui paya. Un fameux Armand, un type plein aux as. Un peu voyou. Eric ne targuant pas d'éloges sur la pute que j'étais. Ils escomptaient tous deux bien s'amuser.Je vins comme l'autre fois en petit haut, mini-jupe et jolies mules aux pieds. J’avais assez forcé sur le maquillage. Je faisais pute. Le groom en bas me regarda de façon curieuse. Il ne me déplaisait pas qu'on me vit telle une prostituée courant à son client. Petits fours et champagne m'attendaient. Ils entreprirent de me faire boire. Mes dernières préventions tombèrent. Je les suçais tour à tour. Trois heures d'orgies où ils me prirent souvent ensemble. J'avais les orifices en feu à force d'avoir servi. Je ne concevais pas autrement des vacances réussies. Une fête du cul.Par la suite je fus draguée par un type de la ...
    ... résidence flanqué d’une épouse revêche. Nous les avions convié à un apéro de pure forme. Le type me dragua discrètement. Je l'allumais à mon tour. Je croisais et écartais les cuisses comme il fallait. Heureusement sa femme à mes côtés ne perçut rien de mon manège. Le coquin un instant prit l’occasion de me rejoindre à la cuisine. Il m'enlaça et m'embrassa. Me pelotant le cul, il sollicita un rendez-vous. Pouvais-je dire non ? Je lui savais gré d'user de moi comme d'une salope.Peu après tandis que j'allais seule à une plage, j'entendis un klaxon derrière. C'était lui dans son auto qui se proposait en taxi. Il eût idée d’aller à une autre plage plus loin. Je le branlais et suçais tandis qu'il conduisait. Il m'avoua en rigolant que sa femme me trouvait trop mauvais genre. Je lui répondis que cela me rassurait car je ne prétendais pas à autre chose. Trop enclin à me venger de cette idiote je résolus à ne rien refuser à son mari. Sur un morceau de serviette au pied de la voiture nous baisâmes tels deux chiens. Je n’avais cure qu'on nous vit.Je sus que mon cochon m’avait repéré dès le premier jour. Tous les gars du coin goûtaient ma croupe, un sujet récurrent dans leurs conversations. Pour eux mon mari devait porter nécessairement des cornes. Il n'était pas mécontent d'avoir prévenu le projet des autres et de me sauter tout le premier. Assurément il irait s'en vanter. De toute façon j'escomptais ne pas rester assez longtemps pour être rattrapée par ma réputation sulfureuse. Trois autres ...