1. Holidays


    Datte: 05/03/2019, Catégories: Anal Mature, Première fois

    ... le vieux cochon on est rarement déçu. Il connaît au mieux l'intime de la mécanique féminine. On passe dextrement les vitesses. Le parcours est décoiffant. Qui plus est il sait relever dans mon genre la parfaite salope. Point de minauderies. Ma façon de rouler du cul et des hanches témoignant assez pour moi. Le baratin avec moi devait être direct et des plus sommaires.Ce jour-là un monsieur, un vieux beau m'aborda. Ce furent ces biceps qui me frappèrent. Il avait en fait le look de M Propre. Celui de la publicité. Une sorte de Popeye. Le bougre allait sur ses soixante. Je sus qu'il avait été sergent dans la légion. Un genre de baroudeur comme dans les films. Il avait un ton posé et fit montre de l'humour et l'élégance requises. Il obtint que j’acceptasse qu'il m'offrit du parfum. Notre rencontre avait eu lieu dans ce genre de boutique. Il me proposa à prendre un verre. Je lui rétorquais que j'avais peu de temps. Que cependant j'aimerais le remercier.Nous lûmes dans nos regards la même pensée. Se penchant à mon oreille il me dit : « J'aimerais que vous me raccompagniez à ma voiture dans le parking du bas. » Tout autre femme se fut offusquée. Moi au contraire je ris rajoutant : « M'assurez-vous de n'être pas de ces serial-killers ? » Nous éclatâmes de rire. Tandis que nous arpentions les premières allées du parking, il avait glissé sa main déjà sous ma jupe pelotant mes fesses rebondies. Il est vrai que celles-ci étaient peu couvertes par la mini-jupe. Tous les vicieux s'en ...
    ... délectaient. Je risquais souvent la main au cul.Derrière un pilier nous nous embrassâmes. Quelques voitures passaient près de nous dont je n'avais cure. J'étais tout excitée. J'adorais ainsi dans la pénombre embrasser un parfait inconnu. J'escomptais bien qu'on me prit pour une de ces garces de Paris qui viennent ici se faire peloter. Ma main entre temps avait caressé la bosse qui enflait le pantalon. Il bandait dur. Dans la voiture tout se fit plus âpre. Je déballais la marchandise. Il avait le sexe magnifique que je rêvais. Je mis un point d’honneur à le sucer. Il m’enfilât rudement sur la banquette arrière.Là aussi je goûtais les mines outrées des hommes et des femmes). « Y a pas idée de faire ici ses cochonneries. Y'a des gosses pardieu ! » Il y avait là-dedans un fumet de scandale. Il ne fallait pas trop s'attarder. Un guguse pourrait aller quérir le gendarme. Eric car ainsi se prénommait mon légionnaire, déplaça la voiture quelques encablures plus loin. Il voulait me prendre en mon endroit le plus étroit. Notoire cochon, il encula. Je ne fis guère de manière. J'adorais cela aussi. Il suffisait que d'écarter le fil du string et d'y enfoncer son pieu. Le sperme souilla mon trou.Nous échangeâmes nos numéros. Tout cela méritait le match retour. Là-bas on s'affolait. Les gosses et le mari me réclamaient. Je n'en dus pas moins faire un tour aux toilettes pour me rafraîchir. Point besoin qu'on devinât ma débauche. J’alléguais être tombée sur une connaissance, une satanée ...