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Le garçon boucher 4
Datte: 17/08/2017, Catégories: Dans la zone rouge,
... une place dans ton joli con. Attention, je pointe et je m’enfonce, en wagon, le train démarre ! - Aïe, je t’ai dit doucement, s’il te plaît ! Son plaisir ressemble à un supplice. Elle ne peut pas refuser à son amant ce qu’elle contestait avec moi. Un amant repoussé pourrait être un amant perdu. C’est le moment de couper leur envie, plus sûrement que du bromure. Je fais signe à Henri et je parle fort. -Allez Henri, viens, on monte, je t’offre un coup à boire. Tu prendras bien une bière fraîche ? - Avec plaisir, mais je ne voudrais pas salir ! Ça ferait du travail à ta femme chérie. - On est seuls, tu n’es pas sale. Viens à l’étage. On a bien travaillé, une petite pause nous fera du bien ! Dans la chambre, on se bouscule, une porte d’armoire se referme, une course pieds nus attire l’attention ! - Dis Henri, on dirait qu’il y a du bruit. Prends un marteau. Si jamais il y a un voleur, on va lui faire sa fête , lui fracasser le crâne. La porte de la chambre est ouverte, une forme marque la couverture. Nous entrons, j’empoigne un coin de couverture, tire brusquement et découvre sous le drap, une Émilie nue, couchée sur le ventre et qui fait semblant de dormir. Elle ouvre les yeux, me voit, voit Henri, retire, pudiquement, sur son corps délicieux, un bout de couverture. L’amant invisible doit se cacher dans l’armoire. - Excuse-moi, chérie. Mais que fais-tu là ? Je te croyais au salon de coiffure. Nous avons travaillé dur et sommes venus vider une bière. Que fais-tu nue dans notre ...
... lit, à cette heure ? - Je ne me sentais pas bien, je suis venue me reposer jusqu’à quatorze heures. Mais, ne t’inquiète pas, ça va mieux. Buvez votre bière et retournez à votre travail, je me débrouillerai ! - Tu n’es pas bien, tu ne m’appelles pas, tu viens ici toute seule. Ce n’est pas prudent. Je vais rester près de toi. - Non, mon amour, c’était un malaise passager. J’ai pris un cachet, tout va mieux. Je suis apte au travail Henri, va à la cuisine, prends-toi une bière et attends-moi dans le couloir. Ferme la porte, s’il te plaît. Tu seras le gardien du paradis, personne n’entre ou ne sort de ce nid d‘amour, tu te sers du marteau, sauf pour ma puce d’amour ou moi. Ma chérie, nous sommes seuls, j’ai une folle envie de te faire l’amour. Je craignais de trouver un voleur, quelle magnifique surprise de te trouver nue. Et puisque tu vas mieux, je vais te redonner de l’énergie. Enlève la couverture ! - Sois raisonnable ! On ne peut pas, si Henri est dans le couloir ! Et il va falloir que j’aille coiffer madame Machin. Dès que vous serez partis je m’habillerai et je retournerai au travail ! - Tu me demandes l’impossible, vois dans quel état est ma verge ! Je vais exploser. Madame Machin patientera ! Tu as le droit de t’envoyer en l’air, que diable ! Ta cliente adorera le récit de cette relation sexuelle inhabituelle. - Bon, mais vite alors et sans bruit ! Tu es insatiable, tout à coup, tu m’inquiètes, l’infarctus te guette ! J’ai tout mon temps. Il faut tout reprendre depuis le ...