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Le garçon boucher 4
Datte: 17/08/2017, Catégories: Dans la zone rouge,
... début. Je m’applique en préliminaires, je traîne, je fais des bruits avec ma bouche, je grogne, je mords pour faire crier Émilie. Elle ne veut, ni ne peut résister : à cause d’Henri gardien de la porte, dit-elle. N’est-ce pas plutôt à cause de l’amant cassé en deux dans la penderie ? Je suis prêt à tout désormais. - Tu sais, si tu proposes à Henri de nous rejoindre, il sera heureux de te faire plaisir. Veux-tu que je l’appelle. À trois, ça pourrait être fameux. Qu’en dis-tu ? - Mais tu es malade ! Je suis ta femme, je ne fais l’amour qu’avec toi. Tu devrais accélérer le mouvement ! Tu ne prendrais pas du viagra par exemple ? - Pour une fois, je sens que nous allons vivre un moment merveilleux ! C’est si rare et si inattendu. La présence de mon collègue de l’autre côté de la porte me stimule. Dommage pour Henri, mais j’adore ta fidélité ! Je t’aime et toi, tu m’aimes ? Dis : Louis je t’aime.Dis-le plus fort ! Plus fort encore ! - Louis, je t’aime. -Dis, Louis je n’aime que toi. Dis :Louis prends moi. Bien fort pour que mon copain Henri sache combien tu m’aimes. Allez, répète plusieurs fois. Henri sera ravi. Fort, bien fort. Elle n’a guère le choix. Tant pis pour Marcel ! Je viens de pénétrer le vagin et commence un long voyage, calme, avec l’intention d’aboutir le plus tard possible à faire jouir l’épouse aimante. J’exagère mes soupirs, je fais grincer les ressorts à un rythme lent, régulier, mais soutenu. Je veux durer. L’autre, recroquevillé dans sa cachette va se faire une ...
... meilleure idée de mes prestations amoureuses. Pour l’instant, Émilie, gênée par la présence de deux témoins, se retient. Mon expérience veut qu’elle finisse par les oublier. J’ai tout mon temps, le temps de la chauffer à blanc, le temps d’accentuer les courbatures d’un amant dépité, à l’étroit au milieu des robes et manteaux et obligé d’écouter jouir, avec moi, la créature qu’il convoitait. La situation cocasse m’amuse, la présence d’Henri dans le couloir me met à l’abri d’une attaque du tueur de cochons. - Chérie, tu ne m’aimes plus ? Pourquoi te retiens-tu ? Embrasse-moi. Donne-toi, raconte ce que tu ressens ! Tu sais que ça précipitera la conclusion. Plus tu cries, plus tu geins, plus tu m’encourages et plus je monte en tension. Oui, comme ça, laisse toi envahir par la jouissance. Quel heureux hasard nous a réuni cet après-midi. Marcel doit bander quand il entend Émilie raconter ses sensations. Peu à peu, les sens l’emportent sur la raison. Le conduit du vagin est de plus en plus humide, des contractions faibles se multiplient autour de mon membre, montent en intensité. Émilie oublie, se concentre sur le plaisir qui progresse. Elle entame des halètements, souffle plus fort, geint, hoquette. A-t-elle envie de mettre fin au supplice de Marcel. Je me retire et nu, je vais au WC, sous l’œil goguenard d’Henri posté en gardien de l’autre côté de la porte. Et je repars à l’assaut, mû par la colère, sans amour désormais, décidé à faire payer chèrement la trahison. En attendant de ...