Soeur Gertrude 5
Datte: 09/03/2019,
Catégories:
grp,
fplusag,
jeunes,
profélève,
religion,
amour,
volupté,
Oral
pénétratio,
fdanus,
hdanus,
Partouze / Groupe
uro,
init,
... Nous nous sommes assis dans le canapé, côte à côte, moi jouant presque distraitement avec le sexe au repos de mon compagnon, lui avec sa main enfouie entre mes jambes, bien au chaud dans la toison de mon minou. On se bécottait tout en faisant des projets pour notre soirée et notre nuit. Paul me proposait d’aller dîner en ville. J’étais hésitante car habillée en nonne, accompagnée d’un jeune homme séduisant, c’étaient toutes les chances de me faire reconnaître et, au moins de faire jaser. Gentil, mon amant me suggéra d’emprunter une des toilettes de sa mère et de me maquiller « femme du monde ». Comprenant aussi mon dénuement pécunier, il me dit que son père lui avait laissé un beau pécule et qu’il m’invitait volontiers ? Tout cela était tentant !! Nous tenant par la main, nous avons été à la salle de bain où nous avons pris une douche longue ensemble. Paul roucoulait sous l’au chaude et m’enduisait de savon, partout, partout. J’en faisais de même, soignant particulièrement son sexe qui, décalotté reposait dans ma main, enduisant bien son anus de savon et en jouant avec l’ouverture. Tout cela était amusant, gamin et presque pas sexuel Nous savions que nous avions toute la nuit devant nous. Paul, comme samedi dernier, a fait un long pipi pendait que je tenais sa verge. Je me suis arrosée de son jet d’or odoriférant et j’en ai fait de même en tentant de diriger ma propre mixtion en serrant mes lèvres vaginales entre deux doigts. J’étais vraiment devenu une salope…. Et je ne ...
... m’en plaignais pas. Au diable (c’est le cas de le dire !!) mes oraisons, pénitences et confessions. À moi le sexe et la luxure. On verrait bien après. Propres comme des sous neufs, nous sommes allés dans la chambre des parents. Paul y a ouvert les armoires et tiroirs de sa mère et a choisi lui-même les dessous qu’il voulait me voire mettre ainsi que la robe. Tout cela était parfaitement à ma taille et mes seins reposaient, pour une fois, dans un somptueux soutien de satin, quasi fait à leurs mesures. Je me sentais une autre femme et après m’être maquillée avec beaucoup de soins (mais des difficultés car je n’en avait aucune habitude) avec les produits de la mère, je me suis présentée Paul qui, entre temps s’était mis en blazer. Il a eu un long sifflement admiratif et s’est exclamé : « Mazette, que tu es belle et élégante. Tu portes encore mieux la toilette que ma mère. Tu n’étais vraiment pas faite pour être bonne sœur ». J’avais crainte que, complexe d’oedipe aidant, Paul ne voie un substitut de sa mère. Il n’en était rien. C’était moi et pas sa mère ! Il m’a fait tourner autour de lui comme un mannequin pour encore mieux m’admirer. Il avait raison, je n’ai jamais été faite pour être « nonne ». C’est un peu tard ( trop tard ..) cependant que je le constatais .. Bras dessus, bras dessous, nous sommes partis vers un restaurant proche. Nous ressemblions soit à une mère qui sort son fils, soit à un gigolo et sa maîtresse. Ce n’était ni l’un ni l’autre. Nous avions fait table rase ...