1. VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (18/20)


    Datte: 10/03/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    -- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -- Nous sortons, dehors c’est le capharnaüm, des fourgons de police attendent, je monte aider par un gendarme qui place son bouclier pour que nous soyons épargnés par les flashes des appareils photo et que l’on protège notre anonymat, nous sommes des victimes. Lorsque les cinq filles sont à l’intérieur, Noémi me regarde et me dit. • Léa, pourquoi le flic t’a demandée à lui montrer les filles qui étaient retenues ici ? • N’ayez pas peur, votre calvaire est terminé, vous allez savoir pourquoi dans quelques minutes. Des cris de joie remplissent le fourgon, ils s’arrêtent et nous entrons dans un commissariat. L’inspecteur remarque que nous avons toujours les menottes. • Bande d’incapables, enlevez-moi ces menottes, ces filles sont libres, vous croyez qu’elles n’ont pas eu leur dose de soumission. C’est à ce moment que Lucas me rejoint, il attendait dans les bureaux. Je lui saute au cou et nous nous embrassons sous les applaudissements de toutes les filles. • Lucas, mon chéri, l’inspecteur de la brigade de la répression du proxénétisme est-il là ? • On est en Belgique, il n’a pas le droit d’intervenir hors du territoire français, nous allons le voir bientôt, il est parti régler votre arrivée en France. Nous allons être conduits en France tout à l’heure, ils souhaitent vous soustraire à la presse et que votre identité ne soit pas rendue publique. • Pourquoi ne m’as-tu pas dit que la police nous libérerait ce soir ! • Parce que, ...
    ... je ne le savais pas. L’inspecteur belge vient vers nous. • Merci pour votre aide toute la bande est arrêtée et va être envoyée devant la justice. • Pourquoi, êtes-vous intervenu ce soir ? • C’est grâce à vous Léa, tous les renseignements que vous nous avez apportés ont permis à nos deux polices de mettre sous surveillance un maximum de personnes. • Les policiers qui surveillaient vos beaux-parents à Sète, ceux qui surveillaient votre mari à Valenciennes et ceux qui suivaient un dénommé Hugo en Belgique, ont signalé que tout ce petit monde faisait mouvement vers la Belgique, nous en avons déduit que quelque chose d’important se préparait. Lorsqu’ils ont passé la frontière, nous avons repris la filature, ils sont arrivés au club où vous travailliez, nous avons fait intervenir les forces en alerte et coffré tout ce beau monde d’un seul coup. • Merci d’avoir fait aussi vite pour nous sortir de là. • Les premiers renseignements donnés par celle qu’ils appelaient maman Claude, confirment qu’ils s’étaient réunis après votre rébellion et la décision qu’ils venaient de prendre de vous envoyer tapiner en Afrique. • Maman Claude est ma mère, pouvez-vous faire quelque chose pour elle ? Quelque part c’est la plus ancienne victime de ces monstres ! • Lorsque vous ferez votre témoignage, toutes les filles doivent faire une déclaration précisant que votre maman vous a toujours bien traitée, cela l’aidera. • Merci, avant que vous ne nous emmeniez, parmi les personnes arrêtées, il y avait deux ...
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