VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (18/20)
Datte: 10/03/2019,
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Dans la zone rouge,
... droit à un baiser sur la joue, ne pas toucher les filles, ce beau mâle est pour moi et moi seule. • Lucas, conduit nous faire les boutiques, nous arrivons avec juste ses vêtements sur le dos. • Je croyais qu’ils vous portaient vos bagages. • Nous avons tout jeté, nous ne pouvions pas voyager nues sinon nous aurions même jeté ce que l’on a sur le dos, la seule chose qui va rester de ces semaines voire des mois pour d’autres, ce sont les colliers que j’ai dans ce sac. • J’aurai bien aimé te voir arriver nue ! • Pervers ! J’ai toujours dit que l’on reconnaît l’homme à sa voiture, Lucas gentleman jusqu’au bout des doigts m’ouvre la portière de sa 508 Peugeot. Les filles sont impressionnées par l’intérieur tout cuir du véhicule. Je venais souvent à Paris faire des achats rives gauches, je veux changer intégralement ma vie, nous nous arrêtons dans un quartier de la rive droite, où de nombreuses boutiques avec des vêtements féminins nous tendent les bras. Jusqu’à la fermeture, nous remplissons des sacs avec petites culottes, sous-vêtements sexy et autres robes, tailleurs pour moi et tenues jeunes pour les Filles. Ajoutez quelques jeans pour les trois et des chaussures, j’oublie quelques pull-overs légers en cas de rafraîchissement de la température. Lucas ne va bientôt pas avoir assez de bras pour tout porter, il a de la chance à mesure qu’un modèle nous plaît, nous abandonnons nos anciennes peaux. Nous avions récupéré nos papiers par la police trouvée dans notre maison de ...
... Valenciennes, Pierre avait un coffre secret dans le chalet près de la piscine. Il gardait de grosses sommes d’argent qui ont été saisies. Nous faisons tellement chauffer ma carte bancaire que Lucas doit sortir la sienne lorsque j’atteins le plafond de la mienne, nous entrons même dans une pharmacie pour acheter des brosses à dents. Dans une parfumerie, nous remplissons un sac de produits de beauté. Nous repartons, je m’aperçois que je ne sais même pas où Lucas nous emmène. Je me souviens qu’au restaurant à Sète, il m’a dit avoir une entreprise en banlieue. Nous reprenons l’autoroute A6, c’est à Viry-Châtillon devant un portail et un grand mur qu’il arrête la voiture, où nous entrons dans une propriété idyllique. Nous seulement la maison est spacieuse, mais la terrasse fermée débouche sur un beau jardin qui surplombe un lac. Sur la terrasse un Spa occupe un côté. • On peut, il fonctionne ! • Tu es chez toi, il est à température ! Le temps de nous mettre nue, nous entrons dans l’eau, nous nous sommes déshabillées très naturellement sans penser que nous pouvions gêner Lucas. Nos pratiques de liberté vestimentaires dans les chambres après le travail ont fini par nous imprégner. Une question se pose pour moi, les pratiques lesbiennes avec Marjorie. N’ayant jamais léché la vulve d’Armel malgré l’envie que j’en ai eue lorsqu’elle a écarté ses cuisses pour entrer dans le Spa, gênerait-il Lucas ? Le repousserait-il de moi ? • Lucas, rejoins-nous, l’eau est bonne ! Je le vois gêné de ce ...