1. Sabbat de Noël


    Datte: 18/08/2017, Catégories: grp, campagne, fête, Oral pénétratio, Partouze / Groupe merveilleu,

    ... vigueur, je me lance à mon tour dans cette danse échevelée. Mon manteau blanc m’entrave, je le laisse tomber derrière moi. Je suis nu comme les autres. En passant devant la table, des mains me tendent un broc rempli d’un liquide clair, de l’eau ? Non, enfin oui, de vie ! Je pète le feu soudain ! Toute inhibition envolée je saute sur les braises je cabriole, je tourne sur moi-même à l’instar des autres. Mirka est déchaînée, c’est elle qui saute le plus haut en poussant de grands cris semblables à des hululements de chouette amoureuse. Son corps brun et délié éclate de santé. Après chaque saut, elle va se frotter le torse contre un homme musclé qui l’accueille avec bonheur, son sexe se dressant un peu plus à chaque fois. Sortant un instant du cercle, elle se penche, montrant ses fesses musclées et une fente rose épilée soigneusement, ramasse un faisceau de branches feuillées, le trempe dans un récipient et fouette chacun en bas du dos, sur les fesses sur le ventre sur le sexe. Chaque contact avec les branches allume un feu violent, chaud et froid à la fois, qui nous fait hurler de douleur et de plaisir mélangé. Un petit corps brun vient se frotter à moi, sous son masque de renarde ses cheveux châtains flottent librement. Elle sent le fauve, mais une odeur terriblement érotique qui met mes sens en émoi et ma queue au garde à vous. Lili passe, m’empoigne les testicules. Mes mains ne restent pas inactives et vont de son mont de Vénus à ses seins. Une autre main me caresse les ...
    ... fesses et très vite un tourbillon de caresses m’entoure, me palpe ou me frôle. Je rends coup pour coup, m’égarant dans des entrecuisses fiévreux et trempés. Bernard s’en est pris à Jeanne, à genoux devant elle le nez enfoui dans son bas ventre. Elle, la bouche grande ouverte, se laisse faire en remuant sa tête. Des couples s’assemblent, se délient, renouent. Peu à peu l’atmosphère se remplit d’odeurs diverses, un paradis de phéromones à rendre jaloux un lupanar romain. Dans la grange ou du foin avait été répandu à foison, des couches improvisées de vêtements reçoivent les corps emmêlés. Marie la première à me chevaucher, déchaînée se plante sur mon pieu, puis les autres, Lili aussi. Les femmes passaient d’hommes en hommes les hommes de femme en femme. Chacun trouvait son plaisir, Mirka accueille tout le monde, hommes, femmes, elle reçoit le sperme des hommes sur son corps et Jeanne, occupée par derrière par une femme affamée de son cul, la lèche avec empressement, tout en branlant un homme, velu comme un ours et muni d’un braquemart de belle dimension. Trois femmes s’abattent sur Bernard, dans un tourbillon de cul de cheveux et de mains, il disparaît sous les corps, de temps en temps émerge un membre, un coin de peau, en réchappera-t-il ? Quant à moi je suis aussi submergé entre Lili et Marie, je ne sais où donner de la bouche, des mains et du sexe. Marie coule abondamment, de son sexe fauve coule une liqueur qui se pose et s’étale sur ma peau comme un vernis. Elle est assise sur ...
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