1. Tome 1 : Le printemps


    Datte: 18/08/2017, Catégories: fh, hplusag, frousses, hotel, caférestau, douche, amour, Oral hdanus, nostalgie,

    ... soigneusement sur le dossier d’un fauteuil, puis son chemisier. Elle m’apparut alors, grâce à la clarté de la pleine lune entrant par la fenêtre, dans de délicieux dessous sombres rehaussant sa peau pâle de rousse. Son soutien-gorge pigeonnant gonflait son admirable poitrine qui semblait vouloir en jaillir toute seule ; quant à son shorty de dentelle transparente, il dessinait son sexe et ses fesses rebondies plus qu’il ne les voilait. Elle portait des bas fumés qui tenaient seuls en haut de ses cuisses grâce à des bandes élastiques. La blancheur de sa peau était particulièrement mise en valeur par ses dessous qui crissaient sous mes doigts, me procurant des décharges d’électricité statique. Je la fis tourner devant moi, appréciant tout ce que me dévoilait la lune indiscrète s’immisçant dans la chambre. Je l’embrassai à nouveau en l’entraînant sur le lit. Là, je lui picorai la peau de mes lèvres depuis son visage jusqu’aux pointes de ses pieds en m’attardant sur son ventre et sur l’intérieur de ses cuisses, tout en faisant doucement rouler ses bas. Sa chair ferme se piqueta bientôt de chair de poule. J’espérai que ce soit la conséquence de mes caresses plutôt que de la fraîcheur de l’air. Puis je revins à ses poignets que je léchai en remontant vers ses aisselles. À ce moment, je sentis son souffle s’accélérer. Sa poitrine se soulevait sur un rythme rapide. Je fis sortir ses fabuleux seins des bonnets du soutien-gorge ; leurs aréoles étaient très larges et sombres, ...
    ... contrastant avec la pâleur de la chair palpitante. Ils étaient ronds, fermes et souples à la fois, je les massais avec mes paumes et je sentis que les mamelons durcissaient puis, ne pouvant attendre davantage, je les pris dans ma bouche et les tétai alternativement. Ma partenaire me caressait les épaules et les cheveux durant ce temps. Puis mes lèvres descendirent sur son ventre où elles jouèrent avec le nombril avant de continuer vers le sexe et les cuisses. Mes mains saisirent les bords du shorty et commencèrent à les faire glisser insensiblement. Mon amie se souleva pour m’aider à l’ôter. Ce faisant, sa vulve se rapprocha de mon visage, et je sentis sa chaleur animale et sa fragrance musquée. Je repris mes baisers le long de ses cuisses fuselées tout en lui pétrissant les fesses. Son ventre ondoyait et au bout d’un moment, je sus qu’elle en voulait plus. Cette fois, ma bouche remonta jusqu’à sa fente tout en écartant les pétales odorants et trempés de sa vulve pour arriver enfin au clitoris. Je le heurtai à petits coups vifs de ma langue, m’appliquant à faire durcir le petit organe et le sortir de son capuchon protecteur. Mon amie gémissait et sa respiration saccadée montrait qu’elle appréciait mes caresses. Tout en continuant à lécher et aspirer son clitoris, je massais sa vulve qui semblait se creuser et vouloir envelopper mes doigts. Je dois dire qu’elle ruisselait, ce qui facilita l’introduction d’un, puis de deux doigts dans son vagin. À ce moment, Kathy se contracta sur mes ...
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