1. Bal masqué (5)


    Datte: 15/03/2019, Catégories: Transexuels

    ... les deux préparer nos orifices. Patrick me sodomisa longtemps. En levrette d’abord puis en missionnaire. J’avais gardé mes sandales. Dans ma tête, je n’étais pas un simple travesti mais une femme à part entière. — Tu me laisse la place ? demanda Joëlle. Patrick se retira et je vis Joëlle affublée d’un phallus en latex de bonne taille. Déjà préparée par Patrick, elle entra en moi comme dans du beurre malgré un diamètre plus large. Je caressai ses seins aux tétons durs, dressés au-dessus de larges aréoles. Patrick m’offrit son sexe qu’il venait de nettoyer. On changea de position pour revenir en levrette. J’étais baisée et je suçai une queue en même temps. Je sentais les mains de Joëlle sur mes hanches, ses ongles longs s’enfonçant dans ma chair. J’étais de plus en plus excitée, cherchant les coups de butoirs en projetant mes fesses vers les hanches de Joëlle. Je gueulais mon plaisir en deux succions. Patrick bloqua ma tête et éjacula encore une fois dans ma bouche. Mais cette fois, je gardai une gorgée de sa semence, me dégageai de l’étreinte de Joëlle et me retournai pour l’embrasser et partager le sperme. — Je ne sais pas où tu as appris tout ça mais tu es une vraie salope ! me complimenta Joëlle. — Les chiens ne font pas des chats, répliqua Patrick. Sa mère en fait autant. On termina la bouteille de Limoncello que Patrick avait remis au frais. — Merci beaucoup, dis-je. Vous allez me prendre pour une tarée, mais je me suis senti pleinement femme. Je n’étais plus un jeune ...
    ... homme, ni même un travesti. Mais une vraie femme. — On a bien vu, dit Joëlle. Et on a bien sentit ce soir que tu étais vraiment heureuse, radieuse même. Joëlle alla chercher sa mallette. Elle fouilla et ressortir du vernis, un flacon mystérieux puis ce que je reconnus être des faux-ongles. Une demi-heure plus tard, j’admirai mes mains ornées de magnifiques ongles à la french manucure parfaite. J’embrassai Joëlle tendrement pour la remercier. — Maintenant, il va te falloir apprendre à t’en servir. Et je compris très vite ce qu’elle voulut dire. J’avais déjà vécu cette expérience où le moindre geste anodin se transformait en aventure. Mais je m’en foutais. J’étais enfin moi. Sarah. On alla se coucher et le couple m’invita à partager leur lit king size. Cette fois, ce fut Joëlle qui subit nos deux assauts simultanés, vidant ce qui restait de jus dans ses orifices qu’on lécha ensuite. — Faut pas gâcher ! pérora Patrick. Je m’endormis entre eux. Je me réveillai seule. Joëlle entra quelques instants plus tard avec un grand plateau sur lequel était posé le petit déjeuner. — C’était réel ce qui s’est passé hier soir ? demandai-je. J’ai l’impression que j’ai rêvé. — Ah non, je t’assure, c’était très réel. Et très bon. Même Patrick ne s’est pas remis de ta prestation. — Il est où ? — Parti courir. Bon on va se doucher ? J’ai encore une surprise pour toi. — C’est trop ! dis-je sincèrement gênée. — Mais non, mais non. — Bon, bon. Qui passe en premier ? — Pourquoi ne pas y aller ensemble ? ...