Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (14) : Christine, ma femme
Datte: 22/06/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... rêve. Philippe embrassa à son tour Christine. Je n’étais plus jalouse et j’avais envie que mes hommes participent à notre plaisir. Je fis venir Rachid près de moi. Je voulais montrer à Philippe et Christine combien j’étais à lui. Le baiser que nous échangeâmes était tellement torride et mouillé que nous étions emportés par un torrent de plaisir. Nos bouches étaient collées l’une à l’autre, nos lèvres se comportaient comme des ventouses et s’aspiraient goulûment, nos dents s’entrechoquaient. Ma langue pénétra dans sa bouche pour aller à la recherche de la sienne, qui l’attendait de pied ferme. Un temps, elles jouèrent au jeu du chat et de la souris, puis s’affrontèrent, l’une enroulant l’autre et l’autre montant sur l’une. Nous aspirâmes à tour de rôle toute la salive que nos bouches secrétaient que nous avalâmes avec délectation et volupté. Le baiser dura une éternité et nous mena au bord de l’asphyxie. Son désir grandissait au fur et à mesure que durait le baiser. Son érection était impressionnante. Il avait envie de me prendre. Nous nous séparâmes à bout de souffle, sans pour autant nous éloigner l’un de l’autre. Je continuais à me coller contre lui, en frottant mon bas ventre contre le sien. Je sentais le gonflement que faisait son sexe. Je m’y frottais avec insistance en le tenant par la taille. Pendant ce temps, Philippe prenait les choses en mains du côté de Christine. Il lui caressait le dos et s’occupait directement de sa poitrine et de ses merveilleux seins ; des ...
... seins ronds et volumineux d’une fermeté étonnante. Les deux hommes s’occupaient en même temps des seins de ces deux femmes qui s’offraient totalement, pendant que Christine et moi nous embrassions, Christine aurait préféré les étreintes de Rachid, mais était sincèrement reconnaissante envers Philippe, sans qui rien n’aurait été possible. Rachid prit un sein dans une main, avec l’intention de l’écraser et de lui faire mal. Au contact du sein, sa main ne put qu’esquisser une légère caresse. De son côté, Philippe se mit à caresser doucement les seins de ma maîtresse en insistant sur les larges tétons violacés et ronds. Elle se mit à frémir et à pousser de tous petits gémissements. Elle aimait être caressée ainsi, en douceur, sur ses tétons. Quant à Rachid, il se mit à enrouler mes tétons l’un après l’autre entre trois doigts, tirant de moi des tous petits cris de plaisir rauques, presque inaudibles. Christine me regardait en souriant aux anges. - Tête-moi ! Lui dis-je. Il plongea aussitôt ma tête sur ma poitrine et posai sa bouche sur le téton qu’il était en train de caresser. Il se mit à le lécher un petit moment puis à l’introduire dans sa bouche pour le téter goulûment, comme un bébé affamé. C’était divin. Philippe et Christine s’étaient interrompus dans leurs caresses pour mater, fascinés. - Caresse-moi l’autre sein ! Rachid envoya sa ma main libre vers le deuxième téton qu’il se mit à malaxer doucement entre ses doigts, tout en continuant la tétée sur l’autre sein. Je me mise ...