1. La bourgeoise BCBG


    Datte: 15/03/2019, Catégories: fh, fplusag, hotel, pénétratio, init,

    ... m’était destiné. Nous étions un peu tassés sur ce canapé… je n’avais rien contre… sa cuisse tout contre ma cuisse… hum ! Notre proximité et chacun un verre à la main, cuisse contre cuisse, tout concourrait au démarrage d’une conversation fructueuse. Mais non. Son visage était toujours aussi inexpressif, son regard était fixé sur le mur en face du canapé, son dos bien droit ne reposait qu’à peine sur le dossier. Dans sa tenue, seule la veste du tailleur avait été déboutonnée. Elle buvait par petites lampées. Je l’imitais. Le tic de ses mollets avait repris. Après quelques minutes et plusieurs petites lampées d’alcool, elle vida d’un coup son verre comme pour se signifier que sa décision était prise et, d’autorité, se saisit de mon poignet gauche et plaça la paume de ma main sur son genou droit. Ma paume se referma sur sa rotule et mes doigts commencèrent à caresser le nylon qui la recouvrait. Autant que je pus, je commençai à bouger ma paume autour de cette rotule qu’il m’était demandé (sans un mot) de caresser : sur le haut du mollet, dans le creux arrière du genou, sur le bas de la cuisse que je collai à la mienne. Son visage ne laissait rien paraître, ni crainte, ni plaisir, rien… et cela me frustrait — comment voulez-vous être sûr d’être sur le bon chemin si les habituels « panneaux indicateurs » sont inexistants ? Faute d’indications claires, je tentai le tout pour le tout et glissai mes doigts sous le bas de la jupe. Ils y rencontrèrent à mi-cuisse le décor aperçu ...
    ... plus tôt. Je dessinai avec deux doigts ce décor, j’en suivis le contour. Ce mouvement de ma main entraîna le bas de la jupe et découvrit un peu plus les cuisses. Elle ne réagit à mes caresses qu’au moment où mon index rencontra la chair nue… Madame portait des bas ! Un sursaut presque imperceptible. Elle ne faisait cependant rien pour m’empêcher de poursuivre ma recherche « digitale »… Mais, voyez-vous, je suis droitier et nos positions respectives ainsi que sa jupe droite bloquaient les perspectives d’exploration. Je vidai le verre que je tenais toujours de la main droite, le reposai sur la table basse, retirai ma main gauche de sous sa jupe pour placer mon bras gauche sur ses épaules. Ma main droite plongea sous sa jupe entre ses deux cuisses et commença à malaxer la chair tendre, à caresser la peau douce. Elle s’adossa franchement au dossier du canapé, ses cheveux caressaient mon bras gauche. Elle se détendait visiblement. Pour me faciliter la tâche elle fit glisser son postérieur vers l’avant du canapé ce qui remonta un peu plus sa jupe. Mes yeux purent voir ce que mes doigts m’avaient dit : des bas. Mes doigts explorèrent ce que je ne voyais pas encore : le tour des deux cuisses sur toute leur longueur, la limite des bas sur chacune d’elles, les bords de la petite culotte, d’un côté puis de l’autre. N’y tenant plus je caressai le sexe au travers de la petite culotte. Nouveau léger frémissement de sa part. Je dessinai les lèvres de son sexe du bout d’un doigt. À force de ...
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