1. La bourgeoise BCBG


    Datte: 15/03/2019, Catégories: fh, fplusag, hotel, pénétratio, init,

    ... dont le régulier déhanchement associé à la musique des talons sur le sol constituaient une séquence doucement érotique. Tous les marchands de vêtements, de chaussures, de bijoux, etc. eurent droit à un lent examen de sa part. Cependant aucun achat… Une sorte de grand désœuvrement, un vide d’agenda à combler absolument. Elle ne me donna pas l’impression d’avoir remarqué mon manège. Peut-être que mon entraînement de voyeuriste portait ses fruits et que je devenais très discret ? Quand elle décida de quitter le centre commercial, je décidai, au point où j’en étais, de poursuivre sans beaucoup d’illusions ma filature. Je m’attendis à la voir récupérer son automobile dans le parking associé au centre. Mais non ! Elle sortit et emprunta le trottoir (tiens, serait-elle ici en voisine ?). Quelques dizaines de mètres et elle grimpa la volée de marches conduisant à un hôtel (tiens, serait-elle une touriste ou une femme d’affaires ?). Je continuai de marcher au même rythme me résignant à la fin de cette séquence en reluquant une dernière fois ce superbe postérieur. C’est au moment où j’arrivais à sa hauteur, elle en haut des marches, moi sur le trottoir en contrebas que je la vis se retourner vers moi, ses yeux noirs dans les miens et que je reçus un ordre clair de sa part : — Viens ! La surprise était totale. Je retournai la tête pour m’assurer que cet ordre n’était pas destiné à quelqu’un d’autre derrière ou autour de moi. Personne. J’ai encore cependant hésité un court instant ...
    ... avant de la voir tenir la porte de l’hôtel ouverte, ses yeux toujours fixés sur les miens. Cet ordre m’était destiné… comme elle voulait ! Je grimpai les marches, elle maintint la porte ouverte jusqu’à mon arrivée et sans plus se soucier de moi poursuivit son chemin pour prendre sa clé et se diriger vers l’ascenseur où je la rejoignis. Nous embarquâmes dans l’ascenseur, elle sélectionna son étage toujours sans un mot durant le court trajet jusqu’au 8e puis dans un couloir jusqu’à la chambre 812. Elle actionna l’ouverture de la porte au moyen de sa carte électronique, ouvrit la porte et pénétra dans la chambre me laissant le soin de refermer derrière moi. La chambre était assez vaste. L’équipement en était standard : un lit assez large, un petit canapé deux places devant une table basse, un petit coin bureau, une porte menant à une salle de bain. Elle me désigna le canapé de la main toujours sans un mot. J’allai donc m’y asseoir en attendant la suite des évènements et, peut-être quelques mots d’explication. Elle alla dans la salle de bain, y resta quelques minutes, ressortit, déposa son sac sur le pied du lit et se retourna vers moi : — Un verre ? J’y consentis d’un hochement de tête pour, comme elle, économiser la parole. Je m’attendis à être interrogé sur mon souhait de breuvage. Que nenni ! Elle se dirigea vers le petit réfrigérateur situé dans le coin bureau et prépara deux scotchs/glace puis se dirigea vers le petit canapé et prit place à ma gauche en me tendant le verre qui ...
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