1. La bourgeoise BCBG


    Datte: 15/03/2019, Catégories: fh, fplusag, hotel, pénétratio, init,

    J’avais vingt ans alors et, en ce début de printemps, pendant les vacances universitaires de Pâques, je traînais mon désœuvrement précédant le grand rush des examens de fin d’année dans le grand centre commercial de l’Ouest parisien. Je m’ennuyais un peu ; j’étais seul, abandonné par mon amie Sophie qui avait profité de cette période pour rendre visite à ses parents dans sa lointaine province du sud de la France. Le printemps bourgeonnait… tout comme moi, d’ailleurs… et faute « d’exutoire » pour mon excès de sève, je passais mes fins d’après-midi à tenter de jouer les voyeurs dans ce centre commercial. Voyeurisme petit-bras qui se limitait à regarder passer les jolies (et moins jolies) acheteuses et à suivre des yeux un joli postérieur, à tenter de deviner ce que cachait une jupe courte un peu sexy, un chemisier un peu échancré sur une poitrine aguichante, un pantalon bien moulant laissant (ou pas) apparaître en transparence ou en relief le dessin d’une culotte ou d’un string. Ces visions, ces supputations, plus rarement une vision directe de cuisse sous une jupe légèrement relevée, de téton sur une poitrine mal protégée, me servaient de souvenirs érotisants pour me faire jouir le soir venu avec une branlette. Ce jour-là, j’étais assis dans une zone repos comportant quelques fauteuils et, en attendant l’occasion d’augmenter ma collection de souvenirs coquins, j’entamai la résolution d’un problème de mots croisés, levant les yeux à chaque mouvement autour de moi, sans ...
    ... grand « succès » pour le moment. Trois des six fauteuils restants étaient occupés, l’un par une dame âgée, engoncée dans sa doudoune à ma gauche, les deux autres par des adolescentes qui se murmuraient leurs petits secrets en gloussant. Les deux fauteuils libres se trouvaient en face moi. Je plongeai dans mes mots croisés. Quelques minutes plus tard, les ados chargèrent leurs sacs à dos et partirent, téléphone en main pour ne rien rater, en temps réel, de l’arrivée de SMS ou MMS. La dame âgée se leva et disparut en trainant son cabas à roulettes. Je levais les yeux pour suivre ces mouvements et elle arriva et s’installa dans l’un des fauteuils en face de moi. Une superbe « plante » dans la quarantaine bien tassée, vêtue d’un tailleur/jupe noir, les jambes moulées de noir également. Le tableau que j’avais devant moi, sans être érotique ou sexy, n’en contenait pas moins une charge sexuelle intéressante et derrière mon journal de mots croisés, je commençais, aussi discrètement que possible, à en examiner les détails. Des escarpins noirs à talon aiguille, contenant de petits pieds bien cambrés, des chevilles fines surmontées de mollets nerveux dont elle faisait jouer les muscles de temps en temps comme pour se décharger d’un agacement rentré. Les genoux et l’ébauche visible des cuisses… la jupe cachait ce qu’il eût été réjouissant (jouissant) de voir. Je m’attardai quelques minutes sur l’examen de la partie basse du « tableau », suivant avec attention les quelques changements de ...
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