1. De belles retrouvailles (1)


    Datte: 18/08/2017, Catégories: Gay

    ... l’idée que je venais de tout gâcher. Et pendant quelques mois on ne se parla pas. Jusqu’à la période des partiels en fin de mois de mai. Je m’apprêtais à quitter Rennes afin d’aller passer la saison d’été aux États-Unis, lorsque Mathieu se décida enfin à répondre aux messages que je lui avais envoyés depuis notre dernière rencontre. Après qu’on eut réglé nos petits différends, je lui annonçai mon départ imminent et lui me proposa de vite se voir afin d’en profiter… ce que j’acceptai, évidemment, car j’avais très envie de le revoir aussi. Et il ne manqua pas de préciser qu’il avait envie d’être dominé par moi. Ce soir-là, chez moi, on mangea les pizzas qu’on avait commandées et, ensuite, nous fûmes vite à poil. Je dis à Mathieu d’enfiler le string de fille dont je lui avais parlé – qu’il accepta de porter juste pour me faire plaisir, sachant que j’étais dans le trip « femelle en chaleur » – et sinon, les choses prirent la tournure habituelle : je le fessai pendant qu’il suçait goulûment ma bite en fond de gorge, ensuite je le baisai en lui tirant les cheveux et lui faisant sucer mes doigts, pour finir en lui aspergeant tout le visage avec mon jus. Troisième rencontre et, pour la troisième fois, plein de plaisirs partagés ! Je rentrai à Rennes début septembre comme prévu. Je savais que j’allais revoir Mathieu parce que nous avions encore échangé des messages. En effet, au mois d’août, je lui avais envoyé un texto pour prendre de ses nouvelles et, très vite, on se remit à ...
    ... parler sexe. C’est là que Mathieu m’avoua avoir envie d’aller plus loin dans la domination et que j’étais le seul avec qui il avait envie d’essayer d’autre chose. Je voulus donc prendre les devants, me souvenant de la frustration que j’avais ressentie lors de nos deux dernières rencontres, lorsqu’il avait accepté de se soumettre de manière « soft » alors que je voyais clairement qu’il aimait faire sa petite lope avec moi ; de plus, Mathieu, dès le début, m’avait énormément plu pour sa personnalité, mais surtout parce que c’était tout à fait mon genre de garçon. Pour une fois, je décidai alors d’arrêter de jouer au gentil et je lui dis que, s’il tenait vraiment à me revoir, il devait m’obéir, se plier à certaines conditions, certes dans la limite du possible. Nous débattîmes alors les points essentiels, enfin les classiques quoi : ce qu’il acceptait, ce qu’il refusait, ce qu’il allait peut-être vouloir tester… et ainsi de suite. Nous finîmes par nous donner rendez-vous pour la semaine d’après, afin de passer le week-end chez moi. Je l’accueillis donc dans mon nouvel appartement. Cette fois-ci, pas de verre, pas de pizza, pas de film… J’avais préparé le plan que je lui avais dit vouloir jouer : la séquestration. Ses conditions : les limites habituelles – pas de marques, pas trop de violence, pas de scato. Pour le reste, il m’avait donné carte blanche, sachant que de toute façon, au lit, même si j’aime à me déchaîner, je reste toujours un partenaire attentionné et que j’aime proposer ...