1. De belles retrouvailles (1)


    Datte: 18/08/2017, Catégories: Gay

    ... quelque câlins en guise de pauses. Suivant mes instructions, Mathieu se rendit donc dans la salle de bains pour prendre une douche. Une fois terminé, il avait pour ordre de n’enfiler que le caleçon hyper moulant et sexy que je lui avais choisi : un petit boxer rose, acheté dans une enseigne de sous-vêtements très connue, qui mettait évidemment bien en relief son petit cul de lope. Après avoir passé ledit caleçon, il devait se rendre dans la chambre à coucher, qui n’était que très peu éclairée par les fins filets de lumières du volet que je n’avais pas entièrement baissé : il devait donc s’allonger sur le lit et faire mine de dormir. Moi, j’attendis donc pour intervenir. Bien entendu, pour rendre la situation encore plus excitante pour lui, je ne lui avais pas détaillé mes intentions quant à la façon d’organiser ce scénario. Ainsi, une fois qu’il fut allongé sur mon pieu, les yeux fermés, en attendant que je le rejoigne, il fut fort surpris par mon approche : en effet, j’avais enfilé un pantalon et un pull noirs, des gants en cuir et notamment une cagoule. C’est de cette façon que débuta le deuxième plan séquestration de ma vie. Et, tout comme la première fois que j’avais joué à ça, j’étais super excité, et surtout j’avais très envie d’être pervers pour faire kiffer ce vilain Mathieu malgré lui. Bien que la surprise pût se lire sur son visage malgré la pénombre, je compris tout de suite que rien de tout ça ne dérangeait Mathieu : en effet, il fit mine d’essayer de se ...
    ... débattre pour donner une touche de réalité à notre scénario, et son envie de se prendre au jeu ne fut pas pour me déplaire. À présent, c’était à moi de jouer et, étant assis par-dessus lui, qui était allongé, nu, sur son dos avec le cuir de mon gant sur sa bouche, je lui lançai : « Tu bouges plus, bâtard, t’as compris ? », dis-je en cherchant à l’intimider et en agrippant ses boucles blondes avec mon autre main. D’une voix étouffée et d’un petit hochement de tête, il me répondit oui. « Je t’ai vu l’autre jour, en boîte, je sais que t’es une petite fiotte qui aime les queues, alors tu vas faire ce que je te dis ou je te pète la gueule, t’as pigé ? » Même procédé pour me dire oui. « C’est bien. Je sais que tu es tout seul dans cet appart ce week-end, l’ami qui te l’a prêté me l’a dit, et je sais aussi que ta famille n’est pas en ville, alors sache que tu seras ici uniquement pour mon plaisir. Tu cherches surtout pas à crier ou à t’enfuir, sinon on va avoir un problème, pigé ? J’ai grave envie d’abuser de toi, petite salope ! » Cette fois-ci, il ne réagit pas. « T’as compris ? », haussai-je le ton en étirant ses cheveux. Un nouveau hochement de tête. Cette fois, il changea aussi de regard : il ne se contentait plus de me regarder alors que je le surmontais, mais il se mit à avoir de petits yeux de chien battu. C’est là qu’il marqua un point parce que, pour me faire kiffer, il s’était exécuté sur une chose que je lui avais confiée mais que je ne lui avais pas ordonnée de faire : il en ...