De belles retrouvailles (1)
Datte: 18/08/2017,
Catégories:
Gay
... avait juste pris l’initiative pour me faire plaisir. Et moi, je fus encore plus excité, parce que ça donnait davantage de réalisme à notre scénairo. Sans bouger, je poursuivis : « Écoute-moi bien, sale bâtard : si tu veux que ça se passe bien, tu fermes ta gueule et tu obéis, c’est compris ? Si tu obéis, il se peut même que tu t’amuses, bâtard ! » Sur ce, j’allai me mettre debout à côté du lit. « Viens, bâtard, tu te fous à quatre pattes par terre, ici devant moi ! » D’un air qui semblait naturellement apeuré, il s’exécuta. « Baisse la tête, bâtard. Ce week-end, nous allons être que tous les deux ici, d’accord ? Je vais bien souiller ton petit corps de salope et quand ce n’est pas le cas, je t’ordonnerai repos !, et en moins de deux tu devras être comme tu es maintenant, c’est clair ? » Sans lever la tête, il lança un « oui » à peine audible. « Je m’appelle Maître, t’as pigé ? », je criai et lui soulevai la tête en l’attrapant par les cheveux. « C’est oui, Maître ou non, Maître, bâtard ! » « Oui, Maître. » Sa voix était plus claire, mais toujours aussi timide. « C’est qui le chef, bâtard ? », je le testai. « C’est vous… Vous, Maître. » « Parfait. Tu apprends vite, bâtard. Allez, on passe aux choses sérieuses, tu bouges pas ! » « Oui, Maître. » Je me retournai pour attraper un collier en cuir et une chaîne qui servirait de laisse. « À genoux ! » « Oui, Maître. » « Quand je dis à genoux !, tu mets tes mains derrière ton dos ! » « Pardon, Maître… » Je lui enfilai le ...
... collier et j’y accrochai la laisse. « On y va, petit bâtard. » Mathieu se remit à quatre pattes et il me suivit sagement jusque dans le séjour. J’allai m’asseoir sur le canapé, sans enlever ni mes gants ni ma cagoule, et j’ouvris grand mes jambes pour que mon soumis s’installe à quatre pattes devant moi, le menton posé au niveau de mon paquet. Mathieu gardait les yeux baissés, son visage était sérieux, voire triste. Comme je l’appréciais beaucoup et que je suis gentil de nature, je lui caressai la tête et je lui lançai avec beaucoup de douceur : « Ça ne fait même pas dix minutes qu’on a commencé et je suis déjà au comble de l’excitation. Mais si tu préfères arrêter, je ne t’en voudrai pas, tu n’as qu’à me le dire. » Après quelques secondes d’hésitation, il esquissa un tout petit sourire et me répondit avec le même calme : « Je veux continuer, Maître. Je veux être ta… Je veux dire, votre lope. » Rien qu’en le regardant pendant qu’il me disait cela, ma queue durcit encore plus dans mon caleçon. « Très bien, t’es un bon petit bâtard », je lui dis en m’approchant de sa tête. Je relevai un peu ma cagoule pour l’embrasser. On échangea un baiser langoureux, ma langue se glissa dans sa bouche avec fougue. Juste avant d’interrompre ce bon baiser, j’attrapai à nouveau ses cheveux avec fermeté. C’est là que je me décrochai pour lui envoyer un grand mollard en plein figure. « Assez rigolé, salope. Au travail. Tu restes à quatre pattes là pendant que je me désape un peu. » « Oui, Maître », ...