Natasha & Franck (17)
Datte: 16/03/2019,
Catégories:
Transexuels
... proéminentes, les mordillait, les étirait, les séparait de l’arête de son nez, enfonçant son appendice nasal dans ce délicieux coquillage. Il secouait alors la tête et fourrageait, tel un sanglier labourant la terre de son groin pour trouver sa pitance. Elle eut un orgasme fulgurant qui inonda le visage de son lécheur, puis elle changea de position et se mit en levrette. Alors que Tristan frottait son gland contre la chatte d’Isolde pour bien l’enduire de ses sécrétions, elle recula d’un coup, impatiente de sentir le membre l’envahir. ─ Vas-y, bourre moi bien, défonce-moi ! Je ne veux pas que tu me fasses l’amour, on verra ça plus tard : je veux que tu me baises. Laisse tomber les bonnes manières… Imagine que je suis Jessie-Line, et baise-moi comme tu voudrais la baiser si elle te tombait entre les pattes ! emettad Encore une fois, l’allusion à la nièce d’Isolde eut l’effet d’un coup de fouet pour Tristan. Il plaqua les épaules de sa partenaire au sol pour une levrette qui lui faisait pointer le cul en l’air. Il la saisit si fort qu’elle crut avoir perdu deux tailles de tour de hanches et donna de profonds et énergiques coups de boutoir. En plein milieu de la forêt, elle pouvait se laisser aller à hurler son plaisir. Elle contracta ses muscles autour de l’épaisse bite qui lui ramonait le conduit avec ardeur. Ardeur qui redoubla face à cette résistance provocatrice. Isolde avait réveillé quelque chose d’animal en lui. À la réflexion, c’était Jessie-Line qui l’avait ...
... réveillé ; sa tante, elle, le provoquait, révélant ce qu’il pourrait avoir de plus sombre. ─claque moi les fesses ! ordonna-t-elle. Il répondit à la requête sans se faire prier. ─ Plus fort, bordel ! Elle aperçut le pantalon de Tristan à portée de main et tendit le bras. Elle attrapa la ceinture et la lui donna. ─ Fais moi rougir le cul avec ta ceinture. Isolde sursauta quand le premier coup lui cingla les fesses. ─── ∞∞∞∞∞∞∞∞ ─── Elle alluma une énorme bougie. La chambre était vaste, désordonnée avec goût, vivante et exubérante. Tout comme Isolde. Elle se tenait juste derrière lui. Elle l’enlaça, écrasant ses seins contre le dos de son amant. Elle glissa sa main gauche sous son bras, lui caressa la hanche, puis l’aine, prenant soin d’éviter pour l’instant l’objet de sa convoitise. De sa main droite elle défit un des boutons de sa chemise, lui caressa le torse, puis elle défit un autre bouton, le caressa à nouveau. La fenêtre réfléchissait la scène, accentuant les contrastes. La flamme dansante bataillait de sa belle couleur ambrée contre l’obscurité qui tentait d’absorber une moitié de leur visage. Ils ne bougeaient plus. Un fragment d’éternité, ils crurent contempler le clair-obscur d’un Rembrandt voyeur, puis Isolde déplaça légèrement sa main ; un éclat de lumière glissa sur son alliance, incisant furtivement la pénombre pour disparaître aussitôt. ─ Et ton mari...? ─ Ne t’inquiète pas : j’ai demandé à mon frère, le père de Jessie-Line, de s’en occuper. Quand il sera fin saoul, il ...