1. Natasha & Franck (17)


    Datte: 16/03/2019, Catégories: Transexuels

    ... l’emmènera dormir chez lui. Et quand mon mari sera réveillé, mon frère veillera à ce qu’il ne rentre pas trop tôt. Nous avons donc pas mal de temps devant nous... ─ Ton frère est au courant de tes incartades ? ─ Oui. Il sait pourquoi… ─ Ton mari a été infidèle ? ─ Non. Peut-être… Je ne cherche pas à lui faire payer quoi que ce soit. Ne te méprends pas sur mes intentions : je l’aime, et lui aussi m’aime ; mais avec les années, la passion s’est transformée en une grande tendresse. Charles est incapable de mefaire jouir comme tu l’as fait tout à l’heure dans la forêt. Pas par impuissance, mais il est devenu trop tendre avec moi. Il me fait très bien l’amour, mais parfois, la seule chose que je veux, c’est mefaire baiser. Bestialement. ─ Mais se doute-t-il de quelque chose ? ─ Il n’est pas stupide ; je pense qu’il sait. Ce que je fais et pourquoi je le fais. Autant que possible, j’évite de lui poser les évidences sous le nez : ce serait inutile et ne servirait qu’à le faire souffrir, et je n’en ai aucune raison. Le soleil commençait à poindre et le ciel à blanchir. Il lui offrit encore deux orgasmes, plus délicatement et, leurs corps entremêlés, le sommeil leur tomba dessus comme une feuille se détachant de la branche lorsque la bise se fait sentir. ─── ∞∞∞∞∞∞∞∞ ─── Tristan émergea lentement du sommeil. Les yeux toujours fermés, il se remémorait cette incroyable nuit. Peut-être avait-il rêvé? Auquel cas il devait graver ce rêve au fond de sa mémoire. Puis il ouvrit un œil, comme ...
    ... pour épier par le trou d’une serrure. Isolde lui tournait le dos, dormant en chien de fusil. Se collant contre elle, il adopta la même position, enfouit son nez dans sa sombre et longue chevelure et en huma la douce senteur à laquelle se mêlait l’odeur des sous-bois, réminiscence de leur passage nocturne dans la clairière : Isolde avait tant remué sur la couverture que ses cheveux s’étaient répandus dans l’herbe, s’imprégnant de la rosée parfumée. Il resta ainsi immobile plusieurs minutes. Au contact des fesses d’Isolde, sa verge sortit elle aussi de sa torpeur, et tant pis si elle devait à nouveau être plongée dans un endroit sombre et humide. À contrecœur, il jeta un coup d’œil au minuscule réveil posé sur la table de chevet : il était presque dix-sept heures. La faim lui torturait l’estomac. Isolde se tourna face à lui et saisit la queue à pleine main. ─ Qu’il est agréable de se sentir désirée dès le réveil par un si vaillant organe ! Avec envie, elle approcha sa bouche de la verge, titilla le gland et joua de la pointe de la langue avec le méat. Elle ne put s’empêcher d’engouffrer la colonne de chair entre ses lèvres. Puis, quand elle estima avoir suffisamment salué le réveil du mandrin qui l’avait si bien propulsée au septième ciel, elle se fit chatte, se frotta contre son corps. ─ Tu veux bien aller me chercher un jus de fruit dans le réfrigérateur ? Je te propose ensuite une petite séance de pousse-pousse et je nous préparerai de quoi caler nos estomacs, parce que je ...