Paris, puis Londres
Datte: 17/03/2019,
Catégories:
fh,
couple,
hotel,
Collègues / Travail
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... allés interviewer la gardienne de ton immeuble.— Je crains le pire… Elle a vu défiler plusieurs filles dans cet appartement.— Justement ! Un jour, tu lui as confié que tu n’arrivais pas à t’engager parce qu’à 23 ans, à Val Thorens, tu avais laissé partir la femme de ta vie, une Anglaise, et que tu n’arrivais pas à l’oublier. Ils me l’ont rapporté. Depuis, je ne dors plus. Je me dis que je gâche ma vie, nos vies. C’était le grand bleu. La douche qui suivit n’en fut que plus terrible. — Pourtant, j’aime Chris, ajouta-t-elle. Je ne songe nullement à le quitter. J’étais sonné. Quel idiot d’avoir imaginé pouvoir un jour vivre avec elle ! Le choc digéré, j’ai répliqué sur un ton agressif : — Eh bien alors, que fais-tu ici ?— Laisse-moi finir mon histoire. Tu ne sais pas encore tout. Côté sexe, cela n’a jamais été terrible avec lui. Mais c’est de pire en pire. Il dit qu’il m’aime mais il ne me le montre plus. Nous faisons l’amour de moins en moins souvent… Je ne me rappelle même plus quand c’était la dernière fois, ajouta-t-elle en baissant les yeux. J’hallucinais. Qu’une femme aussi séduisante soit délaissée par son mari me paraissait inimaginable. Pourtant, elle était sincère. Cette confession l’avait amenée au bord des larmes. J’avais une envie folle de la prendre dans mes bras pour la consoler. Que dire ? Ce n’était pas à moi de lui expliquer que son richissime mari avait sûrement une ou plusieurs maîtresses. J’ai sorti une banalité : — Il a moins envie de toi, mais ce n’est ...
... pas pour ça qu’il ne t’aime plus. Elle haussa les épaules. — Il n’a plus du tout envie de moi ! Pour tout te dire… Elle hésitait à finir sa phrase. — Oui ?— Même en lui faisant une fellation, il y a des fois où je n’arrive pas à le faire bander. C’est normal, ça ? sanglota-t-elle. C’était parti ! Une vraie fontaine. Je courus chercher un paquet de mouchoirs. Elle me remercia en me faisant comprendre de me rasseoir sagement. — Vous en avez parlé ensemble ? questionnai-je pour rompre le silence.— Bien sûr ! Il met ce manque de libido sur le compte du stress dû à son travail. Possible, mais pas tout le temps. Je ne suis pas idiote ; j’ai pensé qu’il me trompait. L’année dernière, je l’ai fait suivre. Rien ! Au bureau, il ne quitte pas ses écrans. Le soir, il rentre directement à la maison.— Et le week-end ?— Il a besoin de se détendre. Il fait du sport ou il va voir des matches avec ses copains. Je sais qu’après il traîne dans des pubs, mais personne ne l’a jamais vu draguer une fille ou se payer une call-girl.— Que veux-tu que je te dise ? À part des problèmes hormonaux, je ne vois pas. Moi, si j’avais la chance d’être ton mari, tu serais obligée de prétexter des migraines pour être tranquille. Ma réponse eut le mérite de la faire sourire. Soulagée de s’être confiée, son regard retrouva son éclat. Elle recroisa les jambes dans l’autre sens, très haut, en faisant crisser son collant. Ma tension fit un bon. Enfoncé dans le canapé en face d’elle, je venais d’apercevoir des dentelles ...