Paris, puis Londres
Datte: 17/03/2019,
Catégories:
fh,
couple,
hotel,
Collègues / Travail
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... devait sortir tout droit de l’avenue Montaigne ou de la rue du Faubourg St-Honoré, d’un collant noir et de bottes à talons assorties à son sac à main. — Ne me saute pas dessus ; du moins, pas tout de suite… me déclara-t-elle avec son grand sourire. Je vais d’abord t’expliquer pourquoi j’ai voulu te revoir. Joignant le geste à la parole, elle m’embrassa chastement et s’installa dans mon grand fauteuil. — Tu veux boire quelque chose ? Un café ? Un jus de fruit ? proposai-je.— Non, je n’ai pas beaucoup de temps. Chris veut repartir dès ce soir. Viens t’asseoir. Je me suis installé dans le canapé en face. Pourquoi étais-je tombé amoureux d’elle au premier regard ? Pourquoi étais-je passé de femme en femme sans jamais avoir pu l’oublier ? Au cours de mes voyages, j’avais glissé dans mon lit des filles bien, intelligentes, de toutes les couleurs de peau, certaines dotées de poitrines somptueuses et de croupes vertigineuses. Oui. Mais Sandy, grande et mince, si elle n’avait pas ces formes affriolantes, les écrasait de son charme et de sa joie de vivre. Quand elle me souriait, je voyais une petite flamme danser dans ses yeux, et toutes les fibres de mon corps se mettaient à vibrer. Et puis, quelles jambes ! Assise bien droite dans le fauteuil, elle les avait sagement croisées. Sa robe courte laissait voir la majeure partie de ses superbes cuisses. J’étais comme hypnotisé. — Laisse-moi d’abord t’expliquer un tas de choses, dit-elle amusée de voir où se portait mon regard. J’ai un ...
... mari que beaucoup envient et je rêve d’être dans tes bras ! Je culpabilise. Au début de notre mariage, il y a cinq ans, tout allait bien. Je ne regrettais pas d’être restée avec lui. Il a réussi tous ses examens, il est devenu trader. Il gagne tellement de fric que c’en est immoral, mais il est obnubilé par son travail. Je me sens délaissée, je m’ennuie ; je me suis mise à penser à toi, de plus en plus souvent…— Moi, cela fait huit ans que je me traite de con pour t’avoir laissée partir.— Tu n’es pas le seul coupable. Moi aussi, j’ai fait la bêtise de ma vie en ne te laissant pas mon adresse. Nous nous serions revus. À la fin de mes études, je n’aurais peut-être pas choisi d’épouser Chris. En tout cas, je ne me serais pas mariée si jeune.— On s’est rencontré trop tôt, conclus-je. On a été aussi stupide l’un que l’autre.— Le principal, c’est que l’on se soit rencontré, affirma-t-elle en souriant. Bref ! Il y a deux mois, j’ai essayé de savoir ce que tu étais devenu. Pas pour le tromper, comme tu peux le croire après ce qui s’est passé hier, mais pour essayer de t’oublier. Je voulais me mettre dans le crâne que je sublimais notre rencontre, que tu étais un homme comme les autres, un homme qui m’avait sûrement oubliée, qui s’était marié, qui avait des enfants… ou alors qui continuait à vagabonder à travers le monde à moitié drogué, ajouta-t-elle en souriant.— Quelle idée !— Je t’ai retrouvé grâce à Google. J’ai téléphoné à une agence à Paris. Ils ont déniché ton adresse et sont ...