1. Christine ou les infortunes du vice


    Datte: 17/03/2019, Catégories: fh, fhh, uniforme, fsoumise, contrainte, facial, Oral fsodo, jeu, sm, BDSM / Fétichisme piquepince, ecriv_f,

    ... sourire complice et je regagne à regret ma voiture. Je ne vois pas les dix premiers kilomètres. Une légère humidité entre les cuisses me rappelle que dans l’excitation de nos ébats et de notre séparation, j’ai gardé les perles de Geisha entre les cuisses. Cette coquinerie et la légère humidité me font me fendre d’un petit sourire. Je suis décidément devenue une sacrée petite salope. Mais chaque chose à une fin et je me promets intérieurement de les ôter 10 kilomètres avant chez moi. Mon Charles n’a pas besoin de connaître tous mes secrets. Retour à la réalité et à ma vie d’épouse. Que j’aime tout autant d’ailleurs. J’ai hâte de me blottir dans ses bras pour qu’il me raconte lui aussi sa nuit asiatique. Enfer Une vive lumière m’arrache à mes pensées lubriques. Au milieu d’un jaillissement de lumière, une personne fait de grands gestes dans ma direction. Je distingue alors avec une absolue horreur, une patrouille de gendarmes. Trop tard pour bifurquer ou faire demi-tour, la silhouette me fait signe de me garer. Je commence à peine à entrevoir le côté terrible de la situation. Un jeune gendarme longiligne et sec, le visage fermé se rapproche de la voiture. Je descends la vitre électrique anxieuse quand j’aperçois l’éthylotest dans ses mains. — « Bonsoir madame, gendarmerie, contrôle d’alcoolémie » Je me fends de mon plus joli sourire. — « Avez-vous bu quelques choses ce soir ? »— « Je rentre d’un dîner entre amis, j’ai bu un ou deux verres »— « Nous allons voir cela, soufflez ...
    ... fort dans l’appareil ». Rassemblant ce qu’il me reste de lucidité, je me concentre sur l’embout interchangeable de plastique bleu. Après quelques secondes de suspense le verdict tombe : — « Votre test est positif madame, veuillez descendre du véhicule et me présenter vos papiers ». Je suis pâle et furieuse, une si délicieuse soirée va virer au cauchemar. Je farfouille dans mon sac à main pour chercher mes papiers, éteint le contact et ouvre la portière. Le mouvement rappelle instantanément à moi le supplice des perles de Geisha. Le froid tombé sur la campagne me saisit, plus de Yumi et de lumière tamisée, je suis dans la brousse avec 2 gendarmes, en jupe trop courte et enivrée. Le gendarme me fait avancer vers le fourgon de patrouille. Ma démarche mal assurée ne peut être prise pour autre chose que la manifestation d’une ivresse passagère, s’il savait. Un gros gendarme, ventre bedonnant et la cinquantaine, rejoint son jeune collègue. Il regarde mes papiers, relève la tête et me lance un drôle de regard. — « Madame, laissez votre véhicule fermé, vous allez nous accompagner pour confirmer à la brigade votre taux légal d’alcoolémie ». Et voilà comment, assise sur le banc en bois d’un fourgon de gendarmerie, je file escortée et au beau milieu de la nuit. Vingt bonnes minutes sont nécessaires pour atteindre un minuscule bâtiment dans un bled dont j’ai oublié jusqu’à le nom. Je me retrouve au centre d’une vaste pièce, debout devant un gros appareil, qui bipe de façon étrange. Le ...
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