1. Christine ou les infortunes du vice


    Datte: 17/03/2019, Catégories: fh, fhh, uniforme, fsoumise, contrainte, facial, Oral fsodo, jeu, sm, BDSM / Fétichisme piquepince, ecriv_f,

    ... jeune gendarme l’actionne avec énervement, visiblement la bête fonctionne quand elle veut. Le troisième larron, qui de trouve être une grosse bonne femme entre dans la pièce. — « Qu’est-ce que l’on a ce soir ? », Dit-elle avec vulgarité.— « Ivresse au volant, nous contrôlons le taux définitif ». J’apprendrai plus tard qu’il faut deux mesures légales, ce qui n’empêchera pas un score de 0,80 grammes. Le jeune flic me fait vraiment peur. — « Au-delà de 0,4 de dois vous informer, qu’outre une amende majorée, vous comparaîtrez devant le tribunal correctionnel ». Le gros flic a battu en retraite dans le fond de la pièce dans mon dos. En passant dans la pièce surchargée de petits bureaux et d’armoires d’un autre siècle, il me frôle en s’excusant. Je ne saurais dire s’il l’a fait volontairement. Mais je devine ses yeux qui courent le long de mes hanches et de la cambrure de mes reins. Serrée dans cette pièce, je trouve ma jupe bien trop courte et mon top de flanelle bien trop sexy pour mes compagnons du soir. Je parierais que le gros flic, avachi sur son siège et le regard ébahi, pense tout le contraire. — « Ce que je vous dis est très sérieux madame, nous ne plaisantons pas avec l’alcool au volant ». Je suis paralysée par le ridicule de la situation. Une nouvelle lancée des perles de Geisha me paralyse. Mon refus de répondre attise encore la leçon de morale. — « Compte tenu de votre taux d’alcoolémie, vous allez passer la nuit en chambre de dégrisement ». Terreur, mais de quoi parle ...
    ... t-il ? « Lucien je vous chercher un formulaire à la réserve ». — « Ok Laurent, je veille sur Madame, ou mademoiselle peut-être ? ».— « Madame » répondais-je timidement. Le jeune flic est sorti. Le fameux Lucien sort péniblement de son fauteuil, il s’approche de moi et me susurre à l’oreille. — « Evidemment aujourd’hui on ne badine plus avec ces choses là, mais dans les petites brigades et en fin de carrière, on doit pouvoir s’arranger ». Bonheur, mon espoir renaît. — « Ok, cela me convient bien, combien voulez-vous pour m’oublier ».— « Je ne pensais pas à ce style d’arrangement ». Le gros flic à passer sa main entre mes fesses. Je me retourne furieuse : — « Je préfère mille fois la chambre de dégrisement ». Le vieux se renfrogne, vexé. — « D’accord on va prendre notre temps avec toi ma belle et ne compte pas trop sur le téléphone, c’est la campagne ici ». Quinze minutes plus tard, je suis aux bras de la grosse matrone qui m’accompagne vers la chambre de dégrisement. Cette appellation n’est ni plus ni moins qu’une étroite cellule dépourvue de tout confort avec un banc en bois dur et une minuscule banquette crasseuse. Encore heureux que je sois seule. Je me précipite sur mon sac pour sortir mon portable, mais constate avec horreur que le réseau ne passe pas. Le gros flic avait raison mais je ne peux me résoudre à moisir une nuit dans cette cellule. La dureté du bois ma ramène à la réalité. Ces perles sorties de leur contexte de plaisir charnel et de complicité érotique sont un ...