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Rachel
Datte: 18/03/2019, Catégories: f, fh, ff, jeunes, prost, école, amour, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, init,
... derrière entrait légèrement entre mes fesses pour sublimer ma chute de rein. Rachel ne me quittait pas des yeux pendant que j’ai fait glisser les bas le long de mes jambes. J’ai enfilé la petite jupe plissée et le bustier blanc et constaté l’ensemble avec satisfaction. L’arme du crime était chargée, un long baiser de Rachel est venu me confirmer que son effet était immédiat et irrésistible. Mon rendez-vous était fixé à dix-huit heures le surlendemain à une adresse à proximité du restaurant où j’avais fait la connaissance de Martine St-Jean. Inutile de vous dire ce qui pouvait occuper mes pensées pendant toute la journée de cours. Rachel n’a rien voulu me dire sur ce rendez-vous et je dois dire que je l’appréhendais beaucoup : entrer dans un domicile avec ce qui devait sûrement être un professionnel de ce type de prestations et être évaluée, un peu comme dans n’importe quel essai professionnel. Sauf que le but du casting était d’offrir ses charmes à cet inconnu ! Je dois dire que j’ai regardé ma montre toutes les dix minutes. J’ai regagné l’appartement vers dix-sept heures afin de prendre le temps de me préparer sans stress. Précaution inutile, tant mon appréhension était grande. J’ai enfilé ma parure de dentelles mauves, mon autosatisfaction de la veille a laissé place à une certaine panique. La petit jupe plissée couvrait à peine mes bas et le bustier blanc est venu apporter une sagesse toute relative à ma « tenue de travail ». J’ai pris un ticket de bus et me suis dirigée ...
... vers la sortie. Un groupe de jeunes étudiants m’a sifflé et a laissé traîné ses yeux le long de mes jambes et de mes fesses sans retenu. Calés les uns contre les autres dans le bus, j’étais vraiment gênée. Cela ne semblait pas du tout le cas pour un gros monsieur qui ne manquait pas de se rapprocher et d’entrer en contact avec mon dos à chaque secousse du bus. Le toucher m’a donné des frissons. Trois minutes m’ont suffit à la descente pour trouver ce qui ressemblait à un immeuble d’entreprise. J’ai été orientée à l’accueil vers le troisième étage, puis vers l’aile gauche du bâtiment. C’est là qu’une magnifique plaque professionnelle annonçait que je rentrais dans une agence d’hôtesses et de communication. Je fus accueillie par une sublime jeune femme, dessinée dans un tailleur haut de gamme qui dévoilait à merveille une taille fine et des formes parfaites. Elle m’a souri et m’a demandé de la suivre. Je n’ai pu m’empêcher, en la suivant, de contempler le déhanchement de son postérieur prometteur. Elle a frappé puis s’est rapidement éclipsée. — Monsieur St-Jean va vous recevoir. Avant que j’aie pu faire une quelconque relation avec le nom de mon employeur, la porte s’est entrouverte, et mon cœur a manqué de s’arrêter de battre. Un beau jeune homme d’une trentaine d’année m’a accueilli avec distance et sérieux et cela n’a fait que renforcer mon malaise. Il m’a proposé un verre dont j’avais grand besoin et m’a invité à le suivre dans une pièce adjacente. Nous avons traversé un ...