Rachel
Datte: 18/03/2019,
Catégories:
f,
fh,
ff,
jeunes,
prost,
école,
amour,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
init,
... cours ne me posent aucun problème (j’y consacre les trois quarts de mon temps) pour la préparation de mon mastère de communication d’entreprise, ma vie sociale est au point mort. Au-delà de l’aspect désir physique, j’ai noué très peu de contacts avec les Américains, très fermés, si l’on excepte les étudiants de troisième année de l’équipe de basket qui rêvent de mettre une énième nationalité sur leur tableau de chasse de filles ayant écarté les cuisses devant eux. Au moment où je commence à désespérer de mon intégration là-bas, moi d’habitude si expansive et sociable, je fais la rencontre de Rachel (prononcez rakel), une franco-américaine en deuxième année de mastère. Elle anime les séances de tutorat et le courant passe immédiatement entre nous. Nous travaillons, sympathisons et devenons vite inséparables. Cette rencontre m’ouvre grandes les portes de la vie sociale américaine car elle a l’air connue comme le loup blanc. Je fais surtout la connaissance d’un nombre jamais égalé de garçons fascinés par Rachel et qui tirent la langue dans son sillage. Il faut dire qu’elle en impose : grande, blonde, sculptée avec finesse, la parfaite harmonie entre un corps mince et élégant et des formes arrogantes, mais proportionnées. Elle se démarque surtout par un visage angélique et un sourire à faire fondre un moine sexagénaire et introverti. Elle réussit aussi le pari improbable de se fringuer très chic, sexy mais tout dans la suggestion. Le message est très clair : je suis un canon ...
... mais pas une pétasse. Tous les jeunes américains locaux ne l’ont pas encore compris et s’y cassent les dents. J’entre donc dans le monde des soirées étudiantes et m’épanouis totalement. Ce mercredi soir marque la première rencontre avec Rachel dans son appartement et j’arpente avec appréhension les grandes artères américaines pour rejoindre son appartement du centre ville. Je suis assez estomaquée quand je rentre chez elle par le niveau de vie de Rachel. Je croyais bien commencer à la connaître mais ne m’imaginais pas trouver un appartement de 100 m2 dans le centre de San Francisco. C’est sans parler de l’écran plasma, du micro dernier cri et du niveau de la décoration, des tableaux et j’en passe. Nous discutons en dégustant un plat chinois de son traiteur de quartier et je lui fais part de mes problèmes de logement, des odeurs, du voisin qui a l’air bizarre et de mon propriétaire qui ne cesse de vouloir m’entraîner chez lui pour discuter allégement du loyer. Je reconnais bien là Rachel, à peine ai-je fini de lui expliquer mon problème qu’elle me propose ni une ni deux d’emménager chez elle. Je refuse pour la forme ce qui la met de mauvaise humeur et après un combat d’arrière-garde de trois quarts d’heure, je capitule, heureuse à l’idée de vider mon boui-boui et de faire des économies alors que j’ai du mal à boucler mes fins de mois. Le lundi suivant, je pose mes valises et occupe la deuxième chambre de son bel appartement. Elle a tout prévu, un grand lit avec de beaux draps ...