Rachel
Datte: 18/03/2019,
Catégories:
f,
fh,
ff,
jeunes,
prost,
école,
amour,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
init,
Rachel Je terminais cette année-là ma troisième année de formation commerciale à la faculté de Bordeaux. Toute auréolée de mon joli diplôme, je m’apprêtais à réaliser un de mes rêves de jeune fille : finir mes études et travailler aux Etats-Unis. Je profitais donc de cet été pour organiser mon séjour et décrocher une modeste bourse d’études auprès d’une association transatlantique d’échange. Pour moi, c’était comme décrocher la lune. Je me tuai donc à la tâche en bossant deux mois comme serveuse sur les terrasses bordelaises, de quoi renflouer mes économies et payer mes premiers mois de vie la-bas. J’avais de toute façon prévu de trouver un petit job US. Me voilà donc arpentant le pavé de la place de la Victoire, serrée dans une jupe noire, avec un chemisier blanc, cerise sur le gâteau le midi avec un tablier pour le service qui renforce encore mon look de ménagère sexy au service des vacanciers. J’ai donc droit à mon lot de drague, de sifflets, de remarques grivoises entre mecs et de coups d’œil plus ou moins discrets dans mon corsage, bref la vie quoi. Mais j’ai oublié de me présenter : je m’appelle Ludivine, 21 ans, plutôt mignonne avec ma peau mate et mes jolies formes. Je suis bien en chair à la Laetitia Casta, moins jolie qu’elle bien sûr, mais j’ai les rondeurs bien placées et des fesses superbes. Mon vrai piège à garçon, je le tiens de ma mère, des yeux marron scintillants et un merveilleux sourire, mais surtout cette peau parfaite que l’on ne demande qu’à croquer. ...
... Assez de vantardise, reprenons nos aventures. Et pour le plaisir de vivre me direz-vous ? Sachant que je pars dès la fin de l’été et que je suis libre de tout engagement sentimental, je réponds aux avances sympathiques d’un de mes collègues de service qui repart trouver sa copine étudiante à la rentrée de septembre. Bref, rien de bien compliqué et de durable et quelques nuits de plaisirs dans ses draps. Je parviens quand même à étrenner mon maillot de bain et à vider quelques boîtes de préservatifs sur les plages du sud-ouest avant le grand jour du départ. Je n’ai pas eu le choix, mais beaucoup de chance de trouver un petit coin de paradis avec l’université de Berkeley, près de San Francisco. Les enseignements y sont très réputés et le cadre de vie est vraiment génial. Me voilà donc débarquée dans cet immense et beau pays où tout est à la démesure de sa politique. Tout est plus grand, plus fort, plus ambitieux, mais aussi plus difficile. Et me voilà ainsi confrontée à un premier problème de taille : me loger. Après une semaine de recherche et de station à l’hôtel, je finis par trouver une chambre minable dans un logement minable pour un prix inacceptable. Je n’ai pas le choix car, déjà, les cours avancent à grand pas et je dois me familiariser avec ce campus monumental. Autre écueil de taille, mon anglais n’est pas encore au top et j’ai un mal de chien à comprendre ce diable d’accent américain. Trois mois ont passé sur le campus et j’ai le moral dans les chaussettes, si les ...