1. J'en dois une à Marie-Jeanne (1)


    Datte: 20/03/2019, Catégories: Divers,

    ... mais je pouvais pas m’en empêcher : le goût de gomme balloune puis de boucane dans sa bouche me rendait comme fou. Puis quand elle s’est mise à me sucer la langue, j’étais tellement étourdi que j’ai pensé tomber sans connaissance. Mes doigts se sont crispés autour de ses poignets puis je vous l’ai crucifiée après le mur du salon. J’avais pas de clous puis pas de couronne d’épines non plus, mais j’allais la transpercer assez raide qu’elle aurait quand même toute une plaie à montrer à Saint Thomas tout à l’heure. Elle avec, ça allait lui prendre trois jours pour s’en remettre ! J’ai ressorti ma langue le temps qu’elle respire un coup, puis je me suis mis à prendre des petites mordées après ses lèvres. Je mordais sa lèvre d’en haut, puis je mordais sa lèvre d’en bas, puis tant qu’à être parti j’ai continué jusqu’à son oreille puis je suis descendu la mordre dans le cou. Ça avait l’air de l’exciter en calvaire parce qu’elle arrêtait pas de pousser avec ses hanches pour que je m’enfonce entre ses deux cuisses. Moi, c’était entre ses deux boules que je voulais m’enfoncer en premier, sauf que son ostie de camisole était dans les jambes. J’ai lâché un de ses poignets pour remonter sa camisole, mais quand j’ai vu ses gros tetons me sauter dans la face, j’ai lâché l’autre poignet aussi parce que ça allait me prendre mes deux mains. Elle en a pas profité pour se sauver : elle est restée le dos au mur puis elle a mis ses bras autour de ma tête pendant que je lui lichais les boules. ...
    ... J’avais un teton dans chaque main puis je les serrais bien comme il faut pour faire ressortir les mamelons entre mes doigts. Je passais ma langue dans la craque entre ses gros tetons, je me lichais un chemin jusqu’à un mamelon puis je le suçais jusqu’à ce que je le sente me remplir la gueule. Quand Sophie poussait un petit cri de jouissance, je passais à l’autre. Je sentais que ses bras puis ses mains descendaient dans mon dos pendant que je la suçais comme ça. Ses doigts s’aggripaient après mon linge, ça fait que je l’ai laissée tirer dessus pour m’en enlever un morceau. Ça faisait mon affaire, dans le fond, parce qu’après ça je suis remonté l’embrasser dans le cou puis sur la bouche, puis quand je me suis collé sur elle, j’ai senti ses grosses boules entre nous deux. Elles étaient encore toutes chaudes puis toutes mouillées, puis à mesure que je me frottais après, ses deux mamelons me dessinaient des graffitis de bave de chaque bord de la poitrine. Pendant ce temps-là, Suzie me lichait les lèvres, les joues; la face au complet. Elle me tenait la tête entre ses deux mains pour pas que je bouge, mais c’était pas la peine : je voulais pas grouiller de là de toute façon. Sauf qu’à un moment donné, j’en pouvais plus de bander dur comme ça. Je me suis dit : « Suzie ou Sophie, ça suffit ! » puis je l’ai traînée sur le divan. Qu’est-c’est que vous voulez que je vous dise: une traînée, c’est fait pour traîner. Elle est tombée sur le cul, mais en s’accrochant après moi ça fait que je suis ...
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