1. J'en dois une à Marie-Jeanne (1)


    Datte: 20/03/2019, Catégories: Divers,

    ... l’embrassais ! Il vend de la bonne poudre, Pat le Maque, puis on dirait qu’il a du bon tabac dans sa tabatière aussi, parce que j’avais déjà la gueule sèche puis la tête qui tournait. J’ai repassé la pipe à Sophie ou à Suzie, puis je me suis dit que pendant qu’elle mettait ses lèvres d’en haut autour de la pompe à l’eau, j’allait mettre ma pompe à l’eau entre ses lèvres d’en bas. C’était niaiseux en calvaire, comme idée, mais sur le coup ça me paraissait l’affaire la plus logique du monde. Deux lèvres sucrées qui tirent après un tuyau, puis pendant ce temps-là un autre tuyau qui pousse après deux lèvres salées : tout se tenait dans ma tête. Si vous trouvez que mon plan avait pas de câlisse d’allure, allez me fumer quelque chose avant de continuer parce que sinon vous comprendrez pas le reste de l’histoire non plus... Ça fait que je dis à Sylvie : « Si t’es pas pour l’écouter, la T.V., on est pas obligés de rester dans le salon. Qu’est-c’est que tu dirais d’aller fumer dans la chambre, à la place ? » Elle a pas répondu tout de suite; je me suis dit qu’elle voulait peut-être y penser un peu avant. Parce que moi, en tout cas, j’y pensais en tabarnac; la preuve, c’est que je bandais comme un chevreuil. Elle m’a regardé avec ses beaux yeux, elle a tiré une autre pouffée de Marie-Jeanne, puis elle m’a fait signe de m’approcher. Je me suis dit : « Pas besoin d’aller dans la chambre, je vais être bon pour me la faire ici-dedans » mais comme je venait pour l’embrasser, elle m’a ...
    ... soufflé toute sa boucane dans la face, la petite crisse ! Puis après ça, elle s’est sauvée en riant. Je me suis levé puis je lui ai couru après. J’allais quand même pas me laisser insulter de même ! « Je vais t’en faire fumer, des pipes, mon ostie de charogne ! » que je lui crie. Je l’ai suivie dans le corridor jusque dans la chambre à coucher, mais rendu là je me suis enfargé dans un panier à linge sale puis je suis tombé par terre. Elle, ça l’a fait rire encore plus, puis elle est repartie dans l’autre sens. En fin de compte, je l’ai rattrapée dans le salon; ça valait bien la peine de faire le tour de l’appartement pour aboutir à la même place ! Je l’ai poussée dans le mur puis je lui ai tenu les deux poignets pour pas qu’elle se sauve encore. Elle se débattait, la petite maudite, mais quand j’ai accroché la T.V. puis que les boîtes de pizza qui étaient dessus ont toutes crissé le camp par terre, elle s’est remise à rire. On était là tous les deux, collés après le mur, les bras en croix. Elle essayait de se déprendre, mais plus elle se tortillait, plus je la tenais serrée pour pas qu’elle grouille. J’étais tellement proche que je sentais ses gros tetons s’écraser sur moi, puis je gage qu’elle devait aussi sentir comme une bosse sur sa cuisse. Elle a fini par arrêter de rire, mais elle arrivait pas à reprendre son souffle. C’est vrai que ça devait pas être évident; encore moins quand je lui ai enfoncé ma langue jusque dans la gorge. C’étaient des plans pour la faire dégueuler, ...
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