1. Marion ; une veuve, une maman (13)


    Datte: 21/03/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... craquer ; Marion lui assena le coup de grâce. — Un soir où nous avions trop bu, j’ai réalisé que je n’étais pas qu’une passade pour lui, un fantasme d’adolescent mal dans sa peau, mais qu’il me désirait vraiment, qu’il n’abandonnerait jamais... J’étais ivre ce soir-là, je me suis sentie flattée... alors je l’ai invité à venir me masser. — Un massage ? Comme c’est romantique ! Et il t’a baisée, après ? — Non, pas cette fois... mais il était tellement excité que je n’ai pas pu refuser de lui faire plaisir. — Comment tu t’y es prise ? Tu l’as branlé ? Tu lui as sucé la queue ? — Je t’interdits d’être aussi vulgaire ! On ne fait de mal à personne avec ton frère. — Vous m’en faites à moi ! Ce cri du cœur, le désarroi avec lequel il lui fit cet aveu la bouleversa ; elle décida qu’il était temps de mettre les points sur les i. — Ce n’est pas ma conduite qui te rend furieux, n’est-ce pas mon chéri ? Tu es en colère parce que tu es jaloux de ton frère. Il éluda ce qu’elle insinuait, poursuivit sur sa lancée. — Tu es si belle, maman... Mathieu a dû perdre la tête quand il s’est retrouvé seul avec toi... mais tu aurais dû le raisonner, pas l’encourager. — Figure-toi que j’ai essayé. — Alors pourquoi lui as-tu cédé ? — Je n’en sais rien, tu m’énerves à la fin... C’est arrivé, voilà... C’est comme ça. — C’est tout ? Mais tu es folle, ma parole. Une mère ne couche pas avec son fils parce qu’il fait un caprice. Sa jupe était maintenant remontée si haut qu’elle ne dissimulait plus rien. ...
    ... Il n’en perdait pas une miette, d’ailleurs. Il lui fouillait la motte, apparente sous la culotte, avec des grands yeux écarquillés. Il paraissait stupéfait qu’elle le laisse lui scruter la chatte avec autant de désinvolture, comme si elle le faisait exprès ; elle fit instinctivement cogner ses genoux l’un contre l’autre pour se soustraire à son regard vicieux. — Bon sang, Martin, c’est toi qui devrais avoir honte ! — Honte de quoi, maman ? Il commençait à l’agacer. Elle était exaspérée par sa mauvaise foi, ses jugements à l’emporte-pièce, la morale qu’il convoquait pour les accuser alors qu’elle savait pertinemment de quoi il en retournait. Elle écrasa sa cigarette, le regarda en face. — Tu te trompes, tu sais, ce n’était pas un caprice pour lui. — Qu’est-ce que tu racontes, qu’est-ce que tu as encore inventé ? — Ton frère m’a avoué qu’il fantasmait sur moi depuis des années... Tu peux lui reprocher tout ce que tu veux, mais tu ne peux pas lui enlever d’avoir de la suite dans les idées. Il chancela comme un boxeur groggy, sonné par le coup qu’elle lui avait porté, mais il se reprit vite, déterminé à en découdre. — On dirait que ça te fait plaisir que ce petit branleur te désire... T’es vraiment qu’une pute, maman. — Assez ! Ça suffit maintenant ! Je t’interdits de me parler sur ce ton. — Tu crois que je suis jaloux, c’est ça ? Je suis révolté par vos agissements, c’est tout. — Regarde-moi dans les yeux et ose me dire en face que tu n’aimerais pas être à sa place ? Il fut ...