Marion ; une veuve, une maman (13)
Datte: 21/03/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... tellement surpris par sa répartie, tellement pris au dépourvu que quelque chose en lui se cassa. Il lui jeta un regard implorant, se précipita en larmes dans ses bras ; elle les écarta avec indulgence pour l’accueillir dans son giron. Il se laissa tomber à genoux entre ses cuisses, les coudes sur la banquette, enfouit le visage dans son ventre moelleux. — Je ne sais pas ce qui m’arrive, maman... tu as raison... moi aussi je pense à toi de cette façon. Il passa les bras autour de sa taille, s’accrocha à elle en sanglotant. — Je sais, j’avais compris, mon chéri... mais il ne faut pas ! Elle lui caressait tendrement la nuque, les cheveux, mais elle se ravisa et retira soudain sa main, de peur qu’il interprète de travers son geste d’affection. — Ne t’arrête pas, fais-moi un câlin s’il te plait... comme avant. — Voyons Martin, tu n’es plus un enfant. — Nous en faisions souvent quand j’étais petit, tu te rappelles ? — Bien sûr que je m’en souviens. — Nous n’avons pas arrêté quand j’ai grandi, nous avons continué après. — C’est vrai... nous avons toujours été proches tous les deux. — Alors pourquoi n’en fais-tu plus qu’à Mathieu ? Marion frissonna, ses joues s’empourprèrent en songeant à la nature des « câlins » qu’elle accordait à son fils cadet. Martin ne l’avait pas emmenée sur ce terrain par hasard. Elle tremblait, désemparée. Il attrapa l’ourlet, le retroussa ; elle gigota, lui donna une tape sur les doigts, tira sur sa robe pour la remettre en place. Il fit descendre son ...
... visage, posa les lèvres sur sa culotte, dernier rempart qui le séparait de la chair qu’il convoitait. Il ouvrit la bouche, lécha l’étoffe de coton. — Non mon chéri, pas toi, tu n’as pas le droit... Je suis ta mère, je t’aime trop pour ça. Il la tenait fermement, la maintenait par le cul, et il promenait sa langue sur la fente, aspirait les petites lèvres à vif derrière le tissu qui l’empêchait de la dévorer tout à fait. — Et lui alors, c’est pas ton fils, peut-être ? Pourquoi en aurait-il le droit et pas moi ? Il écarta sa culotte sur le côté pour lui découvrir la vulve, leva vers elle des yeux étonnés. — Oh la vache, qu’est-ce que t’es poilue, maman ! Tu ne t’épiles jamais ? Toutes les femmes se font l’intégral de nos jours. — Ton frère ne veut pas... Il n’aime pas... Il dit qu’il me préfère comme ça... Cette confidence intime, l’accès à leur jardin secret qu’elle lui offrait alors qu’il ne demandait rien le stupéfia. Il enfonça deux doigts dans son vagin, les vrilla tout au fond. — Mais qu’est-ce qui te prend, Martin, ça va pas bien ? Retire ta main de là tout de suite ! Elle le houspillait mais gardait pourtant les cuisses écartées, se cambrait imperceptiblement au contact des doigts qui la fouillaient. Il les fit ressortir à regret, aspira gourmand les filaments gluants qui les maculaient, la mouille qui dégoulinait. — Seigneur, Martin, tu es vraiment dégoutant... Tu es encore pire que ton frère. — Merci maman, je le prends comme un compliment. Sa bouche remplaça ses doigts, ...