Marion ; une veuve, une maman (13)
Datte: 21/03/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... il donna un coup de langue dans les poils mouillés, mais elle y mit le holà. — Arrête ! Je t’interdits de faire ça. Elle le repoussa, croisa les jambes, lui jeta un regard furieux. Il s’en voulut de l’avoir brusquée, d’avoir hypothéqué ses chances en se montrant trop impatient. Il se releva et s’assit sur le canapé, tout près. Il passa un bras autour de son cou, essaya de l’embrasser sur la bouche mais elle se détourna. — Mais qu’est-ce qui t’arrive, bon sang ? Sois raisonnable, maintenant... Mathieu ne va pas tarder... Il peut revenir n’importe quand. — On s’en fout, maman. zbvzccwn Il lui fit des petits baisers dans le cou, lui mordilla l’oreille, posa une main sur sa poitrine ; il sentit les mamelons qui durcissaient sous le chemisier. — Ça suffit Martin, je t’ai demandé d’arrêter. Il ignora la semonce, glissa ses doigts dans l’échancrure, lui toucha les seins à même la peau ; leur volume, la douceur extrême de leur texture... c’en était trop ! Il ouvrit sa braguette, libéra son sexe. — Regarde maman, tu vois comme tu me fais bander ? Comme il était beau, qu’est-ce qu’il ressemblait à son père ; Marion avait l’impression d’avoir à nouveau dix-huit ans, comme quand elle s’enfermait dans sa chambre avec ce dernier pour faire des cochonneries en secret. — Mais c’est pas possible, c’est pas vrai... Range-moi ça tout de suite ! Elle essayait de faire preuve d’autorité, mais elle ne se sentait plus la force de lutter. Si son fils avait un peu moins ressemblé à Mathis, elle ...
... aurait sans doute pu lui résister, mais il était déjà trop tard pour ne pas perdre pied. Comme s’il lisait dans ses pensées, il attrapa sa main, la posa sur sa queue ; elle referma ses doigts autour, tira sur la peau pour le décalotter, commença à le masturber énergiquement. — Vas-y doucement, maman, tu me fais mal ! Ils se dévisagèrent, avec la même folie passagère dans les yeux. Il avait mis la main dans sa culotte, avait replié les doigts dans son vagin pendant qu’elle le branlait. Ils se caressaient mutuellement mais ce n’était pas suffisant, ils en voulaient d’avantage tous les deux. Elle lui rabattit le pantalon sur les cuisses ; il l’aida à s’en débarrasser en soulevant son derrière. Elle se contorsionna, baissa sa culotte, lui grimpa dessus. Elle s’installa à califourchon, face à lui. Elle guida son sexe dressé d’une main, descendit dessus, s’empala d’un seul coup, se mit à bouger son bassin, à onduler des reins. Il lui tenait les fesses à pleines mains, la tirait par le cul pour la pénétrer encore plus loin. Il voulut l’embrasser et cette fois elle ouvrit largement la bouche, s’abandonna complètement au baiser. Il lui lécha les lèvres, aspira sa langue. Il n’avait jamais fait l’amour avec une femme, n’avait baisé que des filles de son âge ; pas une seule n’arrivait à la cheville de sa mère. Elle savait se servir de sa chatte beaucoup mieux que les petites pisseuses qu’il avait fréquentées par le passé. Elle contractait les parois de son vagin autour de sa queue, alternait ...