1. 49.6.7 Baise dans un vestiaire de rugby après match


    Datte: 21/03/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... personne d’autre » ? Je t’en foutrais… J’ai envie de profiter de sa boutade pour lui renvoyer le même jeu… Je me dégage alors de sa prise, je me retourne… et, en le regardant tout droit dans les yeux, je lui balance : « Je vais le dire si toi aussi tu admets que moi aussi je te fais jouir comme t’as jamais joui ! ». « Mais qu’est-ce que tu en sais ? » se moque-t-il en scandant bien les mots, le ton moqueur et un tantinet méprisant, un beau sourire sexy et insaisissable aux lèvres. Il avance à nouveau vers moi, il me contourne… cette fois-ci, je suis son mouvement en pivotant sur moi-même… je le vois disparaître dans le saint des saints… le vestiaire… Lorsque je pénètre dans la grande salle, c’est une vibrante sensation de tranche de vie très récente qui me percute… les placards des joueurs, disposés en « U » sur trois murs, ont été pour la plupart abandonnés avec la porte négligemment ouverte… le sol, encore humide, est jonché de petits papiers, de serviettes… une chaussette verte traîne sous un banc… un maillot blanc et vert a même été laissé dans la précipitation… l’odeur de douche de bogoss est omniprésente, comme une force, une énergie invisible mais parfaitement perceptible… en cette fin d’après-midi, cette pièce résonne encore de la présence de jeunes gens heureux… Au milieu de ce bazar parfaitement harmonieux pour mes sens, deux bancs sans dossier trônent alignés à environ trois mètres l’un de l’autre… Mon beau brun est là, installé à califourchon sur l’un d’entre ...
    ... eux, en train de boire à une gourde qu’il a dû tirer de son sac de sport. Je m’assois à mon tour à califourchon sur l’autre banc, face à lui. Et j’enchaîne : « Si je n’étais qu’un coup comme tant d’autres, tu ne m’aurais pas baisé autant… et tu n’en redemanderais pas… ». « Je te l’ai dit, t’as une bonne bouche et un bon cul et t’es toujours dispo, trente jours par mois… c’est tout ce qui compte… » lâche-t-il sur un ton railleur assorti d’un petit sourire méprisant. Ce petit con ne lâche rien… je tente un coup de poker… « Il y en a d’autres des culs et des bouches… mais les miens te font ce que les autres ne te font pas…». Je suis étonné de l’aisance avec laquelle j’arrive à lui balancer mes quatre vérités en le regardant droit dans les yeux… ça doit être l’effet de la bière… mais putain qu’est-ce qu’il est sexy avec son maillot… Il me toise en silence, j’en profite alors pour enfoncer le clou : « Tu as une queue de fou, mais moi je sais la rendre heureuse… ». « T’es culotté, mec ! » me lance-t-il. « Tu peux parler de culot ! » j’arrive à lui balancer « t’y as été fort, hier… et là tu me branches comme si de rien n’était… ». « Ça va, j’étais énervé, j’étais inquiet pour le match… et ça m’a fait chier que Thib me fasse des réflexions… » fait-il, un max détendu. « Je ne suis pas ton punching ball... » je réagis. Il me fixe, son sourire diabolique toujours aux lèvres… et là je le vois se lever, avancer vers moi, enjamber le banc où je suis assis, se pencher en avant, vers moi, en ...
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