49.6.7 Baise dans un vestiaire de rugby après match
Datte: 21/03/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... prenant appui sur ses mains posées à plat juste devant lui… Instinctivement, en voyant ce corps musclé envahir brusquement mon espace vital, j’ai un mouvement instinctif de recul… Le bogoss me toise de très près, en silence… Il me fixe, son sourire diabolique toujours aux lèvres… et là je le vois se lever, avancer vers moi, enjamber le banc où je suis assis, se pencher en avant, vers moi, en prenant appui sur ses mains posées à plat juste devant lui… Instinctivement, en voyant ce corps musclé envahir brusquement mon espace vital, j’ai un mouvement instinctif de recul… Le bogoss me toise de très près, en silence… « Tu sais… je… je… » je bégaie, tentant désespérément de garder mon cap, ma volonté perturbée par sa proximité soudaine. J’ai le cœur qui cogne à tout rompre… mais mes émotions sont loin d’être terminées… le bogoss avance encore son fessier sur le banc, jusqu’à ce que ses genoux entrent en contact avec les miens… ce simple contact de peau chaude est divin… Ma volonté n’est pas seulement perturbée, elle est carrément déglinguée… je tente tant bien que mal d’arriver au fond de ma phrase : « Je… je… peux… tout… tout… comprendre… si… ». Il est assis face de moi, le torse enserré dans son maillot blanc et vert qui sent clairement la transpi… il me sourit, c’est le sourire du prédateur qui mesure son pouvoir sur sa proie… et c’est beau à tomber… « … si… si… si on… m’explique… calme… » je tente de terminer mon propos, alors que mon libre arbitre vient de fondre comme neige ...
... au soleil… Puis, ne trouvant peut-être pas suffisant l’effet de dingue que sa proximité exerce sur moi, le bogoss décide de faire monter la pression jusqu’au-delà de la zone rouge… Je le vois plier le buste vers l’avant, jusqu'à ce que nos fronts se touchent, ses mains fermement posées derrière ma tête pour m’empêcher de reculer… contact détonnant, évoquant d’autres situations ou ses mains retiennent ma tête pour son plaisir de mec… étincelles sur ma peau, dans ma tête, décharges puissantes dans mon ventre… sentir son front chaud sur mon front, sentir une intense chaleur chargée de bonnes odeurs de mecs monter à mes narines… baisser les yeux et, délicieuse surprise, arriver à plonger le regard dans l’entrebâillement du col du maillot enduit par la position de son buste légèrement penché vers l’avant, me perdre dans la vision inattendue et spectaculaire de ses pecs… Je suis tellement dingue que j’en veux encore plus… je suis comme ivre, et débridé… je porte ma main à la naissance du col en V de son maillot, j’attrape le tissu, je l’écarte un peu plus et je plonge mon nez dedans… j’inspire avidement, bruyamment… je m’enivre de cette chaude essence de mec dont j’ai été privé la veille, lorsque le bogoss a déboutonné d’un seul geste sa jolie petite chemise blanche de service… Le feu du désir me ravage de l’intérieur… je suis tellement hors de moi que je trouve même l’audace de porter une main sur sa bosse cachée sous le short… A ce stade, je ne suis plus que désir brulant… voilà ...