1. La scène (1)


    Datte: 21/03/2019, Catégories: Divers,

    ... rapide du soir ou du matin, hygiénique et relaxant pour Monsieur, sans s’occuper de ce que l’autre peut attendre, difficile d’admettre qu’il peut exister autre chose ? Ah ! Ça fait mal de s’entendre dire que la peau de sa partenaire peut aussi devenir un terrain de jeux pour des mains inconnues ? Et s’il n’y avait eu que des mains… parce que cette légère pression sur ma joue, n’était pas due à un doigt, pas non plus un objet anodin. Non Monsieur, c’était une vraie belle queue, bien bandée, tiens un peu comme la tienne qui tend ta braguette en ce moment. Et comme les doigts me donnaient des frissons, que mon envie était de plus en plus présente, eh bien tu sais quoi ? J’ai ouvert la bouche. — Tu… tu as quoi ? Tu as… taillé une pipe… impossible ! Avec moi, c’est la croix et la bannière pour que tu me suces, alors ne me raconte pas que tu as taillé une pipe à un inconnu, surtout… devant d’autres inconnus. — Tu ne peux pas savoir le plaisir que j’ai eu, le bonheur que c’était de savourer ce gros gland bien lisse. Je te jure que je l’ai fait passer et repasser sur ma langue, avec délectation. L’homme a commencé à balancer son corps d’avant en, arrière. J’avais cette impression qu’il me faisait l’amour… dans la bouche. Un vrai bonheur. Il s’enfonçait loin en moi et j’aimais cela. Mais le pire c’est quand des tas de mains se sont mis à parcourir mon corps. J’avais le sentiment que des serpents se lovaient partout sur moi, s’infiltraient, s’insinuaient dans chaque repli, trouvaient ...
    ... tous les recoins, n’en oubliant aucun. — Le seul serpent que je devine ici, c’est toi. Une salope, oui ! Pour me faire du mal, tu m’inventes, tu nous inventes un conte à dormir debout. Tu vas finir par me dire qu’ils t’ont tous baisé… Allez ! Vas-y. Je vais t’écouter jusqu’au bout puisque je te l’ai promis, mais je sais maintenant que tu es une dingue, bonne à enfermer. — N’empêche que je constate avec joie que malgré que je sois « dingue » comme tu dis, je te fais de l’effet, hein ! Mon coco ! La bite du Monsieur est tendue comme un arc, prête à faire sauter les boutons de sa braguette. En insistant un peu tu vas finir par te masturber. — Me branler ? Peut-être pas, si tu me fais une fellation. J’aime cela aussi après tout. — Peut-être que oui ! Si tu es sage et que tu restes tranquille. Au moins le temps que je finisse de tout te dire. — Tu as une imagination débordante ce soir. Trop sans doute. — Tu piges bien le topo ? Plein de mains, encore plus de doigts qui courent sur moi, vont et viennent de mes pieds à ma chevelure, tu comprends bien que dans le lot quelques-uns trouvent des accès… humides, s’offrent des entrées gratuites. Et entre mes lèvres la queue qui coulisse n’en finit pas de rentrer et de sortir. Je suis secouée par des soubresauts, électrisée et impossible de me défiler. J’ai bien senti que la bite s’évertuait à pleurer, mais comment éviter ce jet, lorsque l’on a les mains liées ? Et c’est vrai que j’étais totalement excitée par ces attouchements multiples ...