1. L'acteur de film X et la DRH (1)


    Datte: 22/03/2019, Catégories: Trash,

    À trente-deux ans, ma boite fermait pour se délocaliser en Asie. Heureusement pour moi, je trouvais vite une autre place, du moins, j’en étais persuadé. Je me suis donc rendu dans cette petite PME. Une vingtaine d’employés, trois personnes pour la diriger, le top du top. En plus, le travail proposé est taillé sur mesure pour moi, soudeur. Ce matin, sur mon trente et un, je me présente à la réception. Un jeune homme me guide vers la personne, le DRH qui fait aussi, c’est marqué sur sa porte, office de comptable. Le jeune homme frappe, une voix féminine relativement autoritaire crie d’entrer. Il ouvre la porte, m’annonce d’une voix plus que timide, limite humble. Je rentre alors et…putain la plante qui se lève. À côté, la femme de Roger Rabbit est une planche à repasser. C’est la femme la plus pulpeuse, la plus plantureuse qu’il m’est été donné de voir. Des hanches magnifiquement dessinées, une poitrine volumineuse et presque à l’étroit derrière ce tailleur. Elle a de longues jambes avec des cuisses à la hauteur de sa croupe d’enfer. Partout où je regarde, une main ne suffirait pas pour caresser son popotin ou sa volumineuse et sublime poitrine. En plus, debout, elle fait très grande. La main tendue dans ma direction, elle fait un bref signe au réceptionniste qui s’enfuit à toute jambe. Nous nous serrons la main. Sa voix me bredouille un bonjour, j’en ai autant à son service. Campée sur ses hauts talons aiguilles vertigineux, cela m’oblige à lever les yeux pour plonger mon ...
    ... regard dans le sien. Nous restons ainsi bien quelque seconde sans rien nous dire. Faut reconnaitre, je ne suis pas petit, le mètre…ok, pour les français, MDR, le mètre quatre-vingt, huitante en français moderne. Ça s’est fait…désolé ! Je fais dans les nonante kilos et elle, elle doit faire à l’aise le mètre septante-neuf ou quelque chose comme ça à pied nu. Pour le poids, je l’estime entre soixante et septante kilos, guère de plus. Quand enfin nos mains se séparent, c’est pour m’entendre dire de prendre place, toujours avec sa voix légèrement bredouillante. De la voir de dos m’achève. Cela m’achève tellement que je me presse à m’assoir pour pas qu’elle puisse voir cette douloureuse bosse qui déforme mon pantalon. — WAOW ! — Pardon ! — Non, rien, désolé. — Je vois. Bien, je me suis renseignée sur vous. J’avoue que je ne vous imaginais pas aussi baraquer. — Mes parents non plus à ma naissance, c’est venu avec le travail. — On aime l’humour, cela me convient parfaitement. Donc, soudeur depuis… — Que je suis sorti de l’école, à seize ans, apprentissage, cours, formation continue, la totale quoi ! — Rien ne vous résiste. — Si, les femmes. Désolé, c’est sorti tout seul. Je ne voulais pas vous… — Non, je suis habituée à en entendre des vertes et des pas mûres. — Si je peux me permettre, vous êtes la plus belle femme que j’ai approchée à ce jour. D’où le WAOW. Rien à jeter. Pour tout dire, je vous trouve, pardonnez-moi encore, imparfaitement parfaite. — Voilà qui n’est pas commun. Vous ...
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