L'acteur de film X et la DRH (1)
Datte: 22/03/2019,
Catégories:
Trash,
... voyez, on ne me l’avait jamais faite dans un entretien d’embauche. — Je vous dis ça comme je le pense. Maintenant, si… — On m’avait parlé de votre franchise. Elle va bien au-delà de mes espérances. Pour tout vous dire, j’aime quand on est franc. Si on parlait travail. quand pouvez-vous commencer ? — Heu demain. Oui, demain, sans problème. — Demain, oui, cela nous arrange, une commande urgente à terminer. Va pour demain. Bien, il va être l’heure, vous plairait-il de manger à avec moi ce midi ? — Ma foi. Permettez que je vous invite alors. On est allé manger. Sauf que dans le troquet du coin, il n’y avait plus que deux places et encore, l’une à côté de l’autre. Installé, j’avais bien de la peine à ne pas la regarder. Euh, la dévisager serait nettement plus juste. Je crois même qu’elle faisait de même mais de manière plus discrète que le gros loup assit près d’elle. Sans le vouloir, voulant prendre le poivre, j’ai touché le dos de sa main de la mienne. Nos regards ont plongé dans celui de l’autre. Je crois bien que cette poignée de main dans son bureau nous avait irrémédiablement rapprocher. Perso, j’avais eu le coup de foudre. Maintenant, en ce qui la concerne, je n’en savais encore rien. Je ne sais pourquoi, moi qui suis un poil timide, mais j’ai posé ma main sur son genou. Elle ne portait pas de collant, sa chair était douce à caresser. Elle ne fit rien pour m’en empêcher. Du reste, je ne pouvais aller plus loin, sa jupe étroite m’en empêchait. Je n’avais plus qu’une envie, ...
... lui faire l’amour. À peine le café avalé, elle prit son portemonnaie, les tickets et alla payer directement au comptoir. Puis, elle me fit signe, en me souriant merveilleusement de la suivre. Je ramasse son sac à main, la rejoints, le lui tends. Elle prend son sac et ma main gauche dans sa main droite. Très vite, ses doigts se croisent avec les miens. Dans la PME, à peine hors de vue, elle me colle contre un mur et me plaque sa bouche sur la mienne. Punaise, elle me semble particulièrement chaude la demoiselle. Oui, elle ne porte aucune alliance. Mes mains se posent sur sa divine croupe bien faite. J’ai beau avoir de grosses mains calleuses, mais là, impossible d’avoir toute la fesse dans une seule. Je devine un string en dessous. Cette femme à tout pour me plaire et plus encore. C’est dans son bureau qu’on se retrouve. D’un revers de bras, elle balaie tout ce qui se trouve sur sa table de conférence et m’y couche de force. En moins de temps qu’il faut pour le dire, on est à poil tous les deux et elle s’empale sur me queue. Putain le corps qu’elle possède. Jamais vu un corps aussi beau, aussi pulpeux. Il possède des courbes si superbement prononcées, si belles que cela tient presque du rêve de caresser un corps pareil. On est comme des animaux sauvages d’en l’acte. À croire qu’elle comme moi, nous étions en manque, un énorme manque. C’est aussi un première pour moi, coucher avec une femme que je ne connais que depuis quelques heures. Faut que je prenne les commandes, faut que ...