1. L'acteur de film X et la DRH (1)


    Datte: 22/03/2019, Catégories: Trash,

    ... me prit encore. Je posais sa tête sur mon sperme qu’elle lécha comme une méchante gourmande. Puis, on se calma un peu. L’usine tournait à plein rendement. Elle glissa de sa chaise, enfila mon slip à genou, baisant mes pieds en les soulevant l’un après l’autre. Elle m’habilla comme ça. Je l’habillais de la même manière. J’allais la quitter pour rentrer chez moi quand elle me retint pour un dernier baiser, une main sur ma braguette, une autre dans mon slip, son majeur sur mon anus. Dans la poche de ma chemise, elle glissa une carte de visite en me disant : « À ce soir ! » dybdssfh Alors que je monte dans le bus, je fais mes comptes. Je suis arrivé vers onze heures, un peu avant. Je suis entré dans son bureau, y suis resté durant moins d’une heure avant qu’on aille manger dans ce troquet. Ensuite, punaise, il est déjà dix-sept heures. Mon vieux, faut croire que cette donzelle t’a fait un effet bœuf pour la niquer durant plus de quatre heures. Tu t’es surpassé mon vieux. Sur la carte de visite, l’adresse que j’y lis donne sur un coin bourgeois à l’ouest de la ville. Je le connais j’y ai fait quelques soudures sur la barrière qui l’entoure. C’est une sorte de village dans la ville, clos, on ne peut y entrer que si on y habite ou qu’on soit invité. Du reste, la carte de visite comporte une puce électronique à usage unique qui ouvrira la barrière à l’entrée de ce village. Le soir venu, sur ma moto, je me rends dans ce quartier. Devant la guérite du gardien, je passe la carte de ...
    ... visite de ma belle. Le grand portail s’ouvre, je m’y engouffre. Sa maison se trouve tout au fond du quartier. Ce n’est pas la plus grande, ni la plus luxueuse, vu son architecture, ce doit même être la plus ancienne. Je pose ma bécane et monte sonner. Une voix sensuelle m’oblige à contourner la maison. Derrière sur la terrasse, une femme voluptueuse se dirige vers moi. Elle ne porte qu’une sorte de peignoir transparent à souhait. Près de moi, sa bouche sur la mienne, ses mains s’affairent déjà à me dénuder. Je l’aide, nous avons la rage de baiser en nous. Là, à même le gazon, elle me couche et s’empale déjà sur ma queue. Assise sur moi, j’ai tout le loisir de malaxer ses seins, de les presser, de les pincer. Ce sont ses mamelons qui attirent ma bouche. La belle s’envole déjà dans un sublime orgasme. Si elle est chaude, je suis bouillant. Comme dans son bureau, on baise comme des porcs. Elle me confie avoir aimé ma main dans mon cul pendant que je la baisais. Elle me confia encore que c’était une première pour elle. Pour moi, tout d’elle était une première. On fit une pause gourmande, histoire de ne pas tomber dans les pommes. On mangea allongés sur des romaines, chacun la sienne. — Dis-moi Rémi. Où t’as appris à baiser comme ça ? — C’est en tournant un film de cul si tu veux tout savoir, mais ça fait plus de dix ans. J’aurais pu continuer, mais cela ne me plaisait pas. Juter sur commande, pas trop mon truc. Et puis ces femmes qui faisaient semblant de jouir, c’était juste pas ...
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