1. L'acteur de film X et la DRH (1)


    Datte: 22/03/2019, Catégories: Trash,

    ... possible. J’en ai fait deux en tout. Le premier, ça, non…je ne peux pas le raconter. Le second, c’était un film de cul traditionnel, je baisais des femmes qui venaient se détendre dans un hôtel en Suisse. Une sorte de cure de cul de jouvence en tout genre. Je les enculais, les baisais et me faisais sucer. Enfin, je mens un peu quand je dis que je n’aimais pas. Jouir avec ces femmes plus expertes que moi m’a appris bien plus que de coucher avec mes amies. — Et ce premier film, il racontait quoi ? — Tu ne vas plus vouloir baiser avec moi après, si je te le raconte. Bon, ok, mais ne viens pas te plaindre après. J’avais pas le rond. J’étais encore en apprentissage de soudeur. Il y avait une annonce pour un figurant dans un film et, d’après cette annonce, c’était très bien payé. J’ai téléphoné, je me suis présenté comme dans ton bureau, ce matin. Là, il y avait une femme, une pâle copie de toi en plus âgée. La quarantaine, très belle, elle portait une combinaison de latex. En fait, le film tournait autour du latex et du SM. Je n’étais pas très à l’aise, faut le reconnaitre, j’n’avais pas vingt piges. Elle m’a invité à la suivre en me disant qu’après, je toucherai plus de deux mille balles pour la journée de tournage. C’est l’appât du gain qui m’a convaincu. Je me suis retrouvé dans une sorte de grande chambre complètement équipée pour soumettre et torturer. Là, il y avait toute une équipe pour le film. En tout, il y avait trois caméraman dont une jolie femme, un preneur de son, ...
    ... le réalisateur, deux actrices dont celle que je viens de te décrire et un mec. On m’a expliqué ce que je devais faire tout en me foutant à poil. Là, ma bite sembla les intéresser. Moi, je devais me faire sucer pendant que le mec frappait l’actrice à l’aide d’une grosse cravache. Si elle me suçait bien, le mec frappait fort. Perso, je n’aurais pas mis mon cul sous cette cravache. — T’as aimé ? — Vas dire ça à un presque puceau à peine sec derrière les oreilles. J’étais un puceau, je ne l’étais plus en fin de journée, crois-moi. j’ai tout fait, enculé, baisé, fouetté. J’ai tout fait dans ce film SM. Pour tout dire, j’ai même enfoncé mon pied dans le cul de cette femme, celle qui m’avait engagé. C’est bien plus tard, quand j’ai reçu la cassette vidéo à la maison que j’ai su qui elle était. Une riche rombière avec une violente addiction à tout ce qui fait mal dans le cul. Une masochiste de la pire espèce. Du reste, chaque fois qu’elle tournait un film, c’est elle qui était la maltraitée. J’ai toutes ses cassettes chez moi. Quelques années plus tard, trois ans après ces deux films, elle m’a invité chez elle. J’ai passé trois jours à la battre, la baiser, l’enculer comme bon je voulais. Avant de la quitter, je lui ai dit que j’arrêtais le cinéma de cul. C’est la dernière fois qu’on s’est vu. Tu sais, je ne suis pas très fier de ces trois jours chez elle. Je sais qu’elle voulait que je la tape, mais comme ça, non. Je préfère être plus fin, provoquer le plaisir. Je ne dis pas, elle a ...
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